Une ONG américaine, "The American Council for Moroccan POWs", a exprimé dans une lettre, adressée lundi, à la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice sa profonde inquiétude concernant les récentes menaces de violence brandies par le "polisario" contre le Maroc et a demandé à la responsable américaine d'exhorter l'Algérie à ne plus abriter ce groupe armé.
Le Conseil Américain pour les prisonniers de guerre marocains (ACMP) "regrette de voir l'Algérie continuer à utiliser les menaces de violence armée et de terrorisme du Polisario pour menacer la paix et la stabilité du Maroc et de l'ensemble de la région", souligne la lettre.
Ces menaces sont d'autant plus alarmantes qu'elles interviennent à un moment où la communauté internationale est à la recherche d'une solution pacifique au conflit du Sahara, affirme le conseil qui dit craindre "sérieusement" que "le gouvernement algérien autorise le "polisario" à user de la violence contre le Maroc afin de réduire à zéro tous les acquis que la proposition d'autonomie marocaine est en train de réaliser et de dérailler les négociations qui se poursuivront le mois prochain à Manhasset sous l'égide de l'ONU".
Condamnant "les crimes et les crimes de guerre qui ont été perpétrés et qui continuent d'être perpétrés dans les camps de concentration au sud-ouest de l'Algérie" et dont est responsable le gouvernement algérien, l'ACMP a "vivement condamné" la position de l'Algérie visant à entraver la résolution du conflit du Sahara dans le cadre de la proposition sérieuse et crédible que le Maroc a posée sur la table des négociations en toute bonne foi.
Le Conseil appelle la secrétaire d'Etat à exhorter le gouvernement algérien "à agir avec responsabilité et à ne plus abriter sur son sol un groupe armé qui menace le Maroc" et à exercer des pressions sur les autorités algériennes pour qu'elles désarment le "polisario" et rendent compte de toutes les armes qu'elles lui ont fournies. Ces armes, met en garde la lettre, "pourraient être utilisées dans de nouvelles agressions et attaques terroristes contre le Maroc" et "se retrouver dans les marchés noirs de la région ou entre les mains d'autres groupes terroristes".
Tout en jugeant inacceptable qu'un Etat membre de l'ONU, comme l'Algérie, abrite "une entité terroriste et criminelle" sur son sol, lui accorde soutien et moyens et l'utilise pour menacer un autre pays souverain, tout aussi membre de l'ONU comme le Maroc, le Conseil a appelé le département d'Etat à placer le "polisario" sur sa liste des organisations terroristes et à prendre toutes les mesures nécessaires pour aider à mettre fin aux activités de ce groupe criminel.
Washington, 11/12/07-MAP
Le Conseil Américain pour les prisonniers de guerre marocains (ACMP) "regrette de voir l'Algérie continuer à utiliser les menaces de violence armée et de terrorisme du Polisario pour menacer la paix et la stabilité du Maroc et de l'ensemble de la région", souligne la lettre.
Ces menaces sont d'autant plus alarmantes qu'elles interviennent à un moment où la communauté internationale est à la recherche d'une solution pacifique au conflit du Sahara, affirme le conseil qui dit craindre "sérieusement" que "le gouvernement algérien autorise le "polisario" à user de la violence contre le Maroc afin de réduire à zéro tous les acquis que la proposition d'autonomie marocaine est en train de réaliser et de dérailler les négociations qui se poursuivront le mois prochain à Manhasset sous l'égide de l'ONU".
Condamnant "les crimes et les crimes de guerre qui ont été perpétrés et qui continuent d'être perpétrés dans les camps de concentration au sud-ouest de l'Algérie" et dont est responsable le gouvernement algérien, l'ACMP a "vivement condamné" la position de l'Algérie visant à entraver la résolution du conflit du Sahara dans le cadre de la proposition sérieuse et crédible que le Maroc a posée sur la table des négociations en toute bonne foi.
Le Conseil appelle la secrétaire d'Etat à exhorter le gouvernement algérien "à agir avec responsabilité et à ne plus abriter sur son sol un groupe armé qui menace le Maroc" et à exercer des pressions sur les autorités algériennes pour qu'elles désarment le "polisario" et rendent compte de toutes les armes qu'elles lui ont fournies. Ces armes, met en garde la lettre, "pourraient être utilisées dans de nouvelles agressions et attaques terroristes contre le Maroc" et "se retrouver dans les marchés noirs de la région ou entre les mains d'autres groupes terroristes".
Tout en jugeant inacceptable qu'un Etat membre de l'ONU, comme l'Algérie, abrite "une entité terroriste et criminelle" sur son sol, lui accorde soutien et moyens et l'utilise pour menacer un autre pays souverain, tout aussi membre de l'ONU comme le Maroc, le Conseil a appelé le département d'Etat à placer le "polisario" sur sa liste des organisations terroristes et à prendre toutes les mesures nécessaires pour aider à mettre fin aux activités de ce groupe criminel.
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