Sunday, October 31, 2010

le polisario est en étroite relation avec AL QAEDA

Deux cellules terroristes liées à l'Organisation Al Qaïda, composées respectivement de quatre et cinq membres, ont été démantelées dernièrement, a annoncé vendredi le ministère de l'Intérieur.

"Dans le cadre des efforts soutenus déployés par les services de sécurité pour lutter contre le terrorisme, il a été procédé dernièrement au démantèlement de deux cellules terroristes composées respectivement de quatre et cinq membres, parmi lesquels figurent un ressortissant de nationalité yéménite ayant un lien étroit avec l'Organisation Al Qaïda et recherché par les autorités de son pays, ainsi que deux anciens détenus qui avaient été condamnés pour implication dans des affaires de terrorisme", précise le ministère dans un communiqué.

Les investigations menées ont révélé que la première cellule, dirigée par un extrémiste, ancien résidant en Italie et pro-polisario, s'est fait baptiser "Front du Jihad sahraoui" et projetait de perpétrer des actes terroristes, indique la même source.

La deuxième cellule terroriste, quant à elle, menait des activités en matière de recrutement et d'envoi de volontaires pour le "jihad" en Irak, en coordination avec des réseaux appartenant à Al Qaïda.

Les membres de ces deux cellules terroristes, poursuit le ministère, seront présentés à la justice après l'achèvement de l'enquête en cours sous la supervision du parquet, conformément aux dispositions et procédures en vigueur et aux garanties légales. map 31-10-2010

Friday, October 29, 2010

Suspension des activités de la chaine de Ben Laden (Al Jazeera) au Maroc et annulation des accréditations de son staff

Le ministère de la communication a annoncé vendredi qu'il a été décidé de suspendre, dès ce jour, les activités de la chaîne "Al Jazeera «au Maroc et d'annuler les accréditations de son staff exerçant sur le territoire national du Royaume, en application des dispositions juridiques en vigueur.
Cette décision a été prise après que plusieurs cas de violations par ladite chaîne des règles du travail journalistique "sérieux et responsable aient été enregistrés, lesquelles règles exigent le respect, dans toutes les circonstances, des conditions d'honnêteté, de précision et d'objectivité, ainsi que l'attachement aux normes et à l'éthique professionnelles, telles que communément reconnues", indique un communiqué du ministère.
Après avoir rappelé que ses services compétents ont procédé, en conformité avec leurs attributions, à l'établissement d'un constat détaillé et d'une évaluation minutieuse des reportages et des émissions d'information traitant de l'actualité marocaine diffusées par Al Jazeera, le ministère a relevé que le traitement "irresponsable" réservé aux affaires marocaines "a sérieusement altéré l'image du Maroc et porté manifestement préjudice à ses intérêts supérieurs, à leur tête la question de l'intégrité territoriale qui jouit d'une unanimité nationale inébranlable parmi toutes les catégories du peuple marocain".
Ladite chaîne n'a rien entrepris pour remédier à cette situation, en dépit des observations et des mises en demeure notifiées, à maintes reprises, aux responsables de ce média, ce qui procède d'"une intention préméditée de nuire au Maroc et d'une escalade manifeste qui n'a pas cessé de s'amplifier ces derniers temps, avec une obstination affichée de ne véhiculer, de notre pays, que des faits et phénomènes négatifs dans une entreprise délibérée de minimiser les efforts du Maroc dans l'ensemble des domaines de développement, de desservir ses grands projets et chantiers de réforme et de minorer sciemment ses acquis et ses réalisations en matière de consécration de la démocratie et d'ancrage des droits de l'Homme", ajoute le communiqué.
En plus des manquements professionnels répétés que traduit le traitement quotidien négatif des affaires marocaines par "Al Jazeera", cette dernière "a fait entrer des équipements techniques dans notre pays sans les autorisations légales nécessaires de la part des départements gouvernementaux compétents", poursuit la même source.
"En application des dispositions juridiques en vigueur, il a été décidé de suspendre les activités de la chaîne Al Jazeera au Maroc et d'annuler les accréditations de son staff exerçant sur le territoire national du Royaume, à compter de ce jour", conclut le communiqué. MAP 30-10-2010

Wednesday, October 27, 2010

Le Burundi retire sa reconnaissance à la "Rasd"

La République du Burundi a décidé de retirer sa reconnaissance à la pseudo Rasd, a annoncé, lundi à Rabat, le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, M. Augustin Nsanze.
Cette décision a été prise "dans un souci d'encourager, à l'instar de nombreux autres pays, le processus onusien et la dynamique enclenchée par l'initiative marocaine d'autonomie", indique un communiqué conjoint entre le Royaume du Maroc et la République du Burundi.
Le ministre burundais "a fait part de son intention d'appuyer les efforts déployés sous les auspices des Nations unies, par le Secrétaire général et son Envoyé Personnel pour parvenir à une solution politique définitive et mutuellement acceptable à ce différend régional", ajoute la même source.
Dans ce contexte, les deux parties "ont décidé, conformément aux orientations des deux chefs d'Etat, SM le Roi Mohammed VI et S।E. Pierre Nkurunziza, de renforcer le dialogue politique entre les deux pays, de donner une nouvelle impulsion à leurs relations bilatérales en particulier sur les plans économique et technique au bénéfice des deux peuples frères", souligne le communiqué. LE 28-10-2010 MAP

Thursday, October 21, 2010

Algérie: deux ans de prison ferme pour ne pas avoir jeûné pendant le ramadan

Lundi, la cour d'Oum El Bouaghi, au sud-est d'Alger, en Algérie, a condamné un homme de 27 ans à deux ans de prison ferme et à une amende de 100.000 dinars (1.000€), pour « atteinte à un précepte de l'islam ». Ce jeune homme n'avait pas respecté le jeûne du ramadan.
En août dernier, sur dénonciation, la police de Aïn El Beïda, à 25 km au sud-ouest d'Oum El Bouaghi, avait effectué une descente dans un lieu abandonné, au centre ville, à la recherche d'un groupe de non-jeûneurs, précise le quotidien algérien, El-Watam.
Ce jour-là, les policiers n'avaient pu arrêter que cet homme de 27 ans, les autres ayant réussi à prendre la fuite.
Il avait alors été placé sous mandat de dépôटी
Pour le président de Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH), « ce genre de poursuite n'a aucun fondement juridique ».
Un procès lié, selon lui, lié à un excès de zèle et de religiosité de la part de l'institution judiciaire.
Le président de la LADDH rappelant que la liberté de culte est garantie par la Constitution algérienne.
La LADDH considère ainsi que cette condamnation « est une attente à la liberté de culte »।