Un juge d'instruction parisien a signé le 7 décembre deux mandats d'arrêt internationaux dans l'enquête sur le meurtre de l'opposant algérien Ali Mecili en 1987, écrit le Canard Enchaîné.
Selon l'hebdomadaire, cette démarche vise, plus de vingt ans après les faits, l'assassin et le commanditaire présumés du meurtre, un "petit truand" et un ancien membre de la sécurité militaire algérienne.
Dès le début de l'enquête, les soupçons s'étaient portés sur les services secrets algériens, ce qui aurait incité les autorités françaises, craignant un remake de l'affaire Ben Barka, à la plus grande prudence.
L'enquête aurait été relancée en 2003 par le témoignage d'un ancien colonel de la Sécurité militaire algérienne, réfugié politique en Allemagne.
Selon l'hebdomadaire, cette démarche vise, plus de vingt ans après les faits, l'assassin et le commanditaire présumés du meurtre, un "petit truand" et un ancien membre de la sécurité militaire algérienne.
Dès le début de l'enquête, les soupçons s'étaient portés sur les services secrets algériens, ce qui aurait incité les autorités françaises, craignant un remake de l'affaire Ben Barka, à la plus grande prudence.
L'enquête aurait été relancée en 2003 par le témoignage d'un ancien colonel de la Sécurité militaire algérienne, réfugié politique en Allemagne.
L'ex-officier visé par le juge Thouvenot est aujourd'hui consul en Allemagne, souligne le Canard Enchaîné, pour qui le magistrat risque de se heurter à la réticence des autorités judiciaires, soucieuses d'éviter une crise diplomatique avec Alger.
Paris (Reuters)-AFP. 26/12/2007.
Paris (Reuters)-AFP. 26/12/2007.
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