Le récent congrès du "Polisario" n'avait pour seul objectif que de "torpiller le plan de paix proposé par le Royaume du Maroc, qui a pourtant eu l'approbation de la communauté internationale", souligne l'hebdomadaire nigérien "L'événement" dans son édition du 25 décembre.
Dans un article sous le titre :"le Polisario en perte de vitesse", l'hebdomadaire relève que "c'est parce que certains dirigeants du front Polisario, aidés de leur traditionnel parrain algérien, ne veulent pas s'inscrire dans la logique de paix, que le congrès de Tifariti a été organisé". Le Polisario "tente ainsi de se donner une envergure politique que les observateurs n'ont pas décelée sur le terrain", ajoute-t-il.
Selon l'hebdomadaire, le Polisario et l'Algérie, son "principal soutien inconditionnel et traditionnel", ont tenté, par ce congrès, de "détourner l'attention des observateurs sur les conditions déplorables et misérables des séquestrés de Tindouf, en Algérie, dues notamment aux détournements de l'aide humanitaire à des fins politiques".
"Aujourd'hui, c'est la représentativité même du polisario qui est en cause au vu des profonds remous qui agitent les camps des réfugiés de Tindouf", à un moment où des voix sahraouies s'élèvent de plus en plus pour "dénoncer les graves violations des droits de l'Homme par le Polisario", souligne l'hebdomadaire.
"Le polisario est donc aujourd'hui en perte de vitesse, en raison de la profonde aspiration de la population sahraouie à la paix", note "L'évènement", soulignant que la négociation demeure la seule voie vers la solution définitive de la question du Sahara. La communauté internationale avait "qualifié de sérieuse" l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie pour la région du Sahara, relève "L'événement".
Dans un précédent article, la même publication affirme que l'initiative marocaine est "la seule alternative" pour la règlement de ce conflit. "Si toutes les autres parties, à savoir le Polisario et l'Algérie, font preuve de bonne volonté, comme le fait le Maroc, le troisième round des négociations va porter ses fruits afin que le problème sahraoui soit définitivement réglé dans le cadre de la souveraineté du Royaume du Maroc", souligne Garé Amadou, l'auteur de l'article publié le 18 décembre sous le titre "l'initiative marocaine a le vent en poupe".
"Face aux agitations du polisario, qui voulait torpiller les pourparlers, pourtant salués de partout, le Royaume chérifien, sous la conduite du Roi Mohammed VI, est resté confiant dans sa proposition d'autonomie dans les provinces du sud, qui font partie intégrante du Maroc de par son histoire et sa culture", ajoute-t-il, soulignant que c'est le sérieux de la proposition marocaine qui a amené les Nations Unies à voter la résolution 1754 qui a, non seulement appelé à des discussions sur la base des derniers développements, mais aussi salué les immenses efforts des autorités marocaines en vue d'un règlement définitif de la question du Sahara
Rabat, 28/12/07-MAP
Dans un article sous le titre :"le Polisario en perte de vitesse", l'hebdomadaire relève que "c'est parce que certains dirigeants du front Polisario, aidés de leur traditionnel parrain algérien, ne veulent pas s'inscrire dans la logique de paix, que le congrès de Tifariti a été organisé". Le Polisario "tente ainsi de se donner une envergure politique que les observateurs n'ont pas décelée sur le terrain", ajoute-t-il.
Selon l'hebdomadaire, le Polisario et l'Algérie, son "principal soutien inconditionnel et traditionnel", ont tenté, par ce congrès, de "détourner l'attention des observateurs sur les conditions déplorables et misérables des séquestrés de Tindouf, en Algérie, dues notamment aux détournements de l'aide humanitaire à des fins politiques".
"Aujourd'hui, c'est la représentativité même du polisario qui est en cause au vu des profonds remous qui agitent les camps des réfugiés de Tindouf", à un moment où des voix sahraouies s'élèvent de plus en plus pour "dénoncer les graves violations des droits de l'Homme par le Polisario", souligne l'hebdomadaire.
"Le polisario est donc aujourd'hui en perte de vitesse, en raison de la profonde aspiration de la population sahraouie à la paix", note "L'évènement", soulignant que la négociation demeure la seule voie vers la solution définitive de la question du Sahara. La communauté internationale avait "qualifié de sérieuse" l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie pour la région du Sahara, relève "L'événement".
Dans un précédent article, la même publication affirme que l'initiative marocaine est "la seule alternative" pour la règlement de ce conflit. "Si toutes les autres parties, à savoir le Polisario et l'Algérie, font preuve de bonne volonté, comme le fait le Maroc, le troisième round des négociations va porter ses fruits afin que le problème sahraoui soit définitivement réglé dans le cadre de la souveraineté du Royaume du Maroc", souligne Garé Amadou, l'auteur de l'article publié le 18 décembre sous le titre "l'initiative marocaine a le vent en poupe".
"Face aux agitations du polisario, qui voulait torpiller les pourparlers, pourtant salués de partout, le Royaume chérifien, sous la conduite du Roi Mohammed VI, est resté confiant dans sa proposition d'autonomie dans les provinces du sud, qui font partie intégrante du Maroc de par son histoire et sa culture", ajoute-t-il, soulignant que c'est le sérieux de la proposition marocaine qui a amené les Nations Unies à voter la résolution 1754 qui a, non seulement appelé à des discussions sur la base des derniers développements, mais aussi salué les immenses efforts des autorités marocaines en vue d'un règlement définitif de la question du Sahara
Rabat, 28/12/07-MAP
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