L’Algérie a versé plus de 10,4 millions de dollars au titre de sa quote-part au budget 2006 de l’Union africaine (UA), faisant d’elle l’un des plus grands financiers de l’organisation continentale, indique un document du Parlement pan-africain (PAP) diffusé hier. Cette somme représente 17,5%, soit plus du sixième, du budget de l’UA en 2006, qui est de 59,49 millions de dollars (M USD). Seuls l’Afrique du Sud, l’Egypte, la Libye et le Nigeria contribuent financièrement autant que l’Algérie, selon le document présenté aux parlementaires africains à l’occasion d’une séance spéciale au PAP consacrée à la discussion de son budget 2007. Le budget du PAP, dont le siège est à Midrand, en Afrique du Sud, dépend entièrement de celui de l’UA.
Le document détaille, sous forme de tableau, les quotes-parts, les sommes versées jusqu’au 17 novembre dernier et les arriérés dus par chacun des 53 pays membres de l’UA. L’Algérie et les quatre autres plus grands contributeurs n’ont pas d’arriérés et leur part cumulée représente plus de 87% de ce budget, révèle le document.
La contribution financière de chaque pays membre est calculée selon son «poids économique». A cette échelle, c’est le Sao-Tomé-et-Principe qui paie le moins, avec une quote-part de 6 939 dollars. Le Maroc, qui n’est pas membre de l’UA, lui doit cependant près de 6,3 M USD, au titre d’arriérés cumulés du temps de l’Organisation de l’union africaine (OUA), dont il s’est retiré en 1984, indique la même source. L’OUA est devenue en 2002 l’UA, avec une nouvelle structure et de nouveaux organes. C’est la République démocratique du Congo (RDC) qui a le plus d’arriérés, avec 10,82 M USD, suivie du Maroc, de la Somalie (6,03 M USD) et de la Tunisie (6,01 M USD), selon le même document.
(le jour d'Algérie)
Le document détaille, sous forme de tableau, les quotes-parts, les sommes versées jusqu’au 17 novembre dernier et les arriérés dus par chacun des 53 pays membres de l’UA. L’Algérie et les quatre autres plus grands contributeurs n’ont pas d’arriérés et leur part cumulée représente plus de 87% de ce budget, révèle le document.
La contribution financière de chaque pays membre est calculée selon son «poids économique». A cette échelle, c’est le Sao-Tomé-et-Principe qui paie le moins, avec une quote-part de 6 939 dollars. Le Maroc, qui n’est pas membre de l’UA, lui doit cependant près de 6,3 M USD, au titre d’arriérés cumulés du temps de l’Organisation de l’union africaine (OUA), dont il s’est retiré en 1984, indique la même source. L’OUA est devenue en 2002 l’UA, avec une nouvelle structure et de nouveaux organes. C’est la République démocratique du Congo (RDC) qui a le plus d’arriérés, avec 10,82 M USD, suivie du Maroc, de la Somalie (6,03 M USD) et de la Tunisie (6,01 M USD), selon le même document.
(le jour d'Algérie)
Deux points particuliers ont retenus notre attention en lisant cet article. L'auteur met en avant l'Algérie comme étant le premier bailleur de fonds pour l'UA. Evidemment, puisqu'elle doit financer et entretenir les mafieux du polisario ainsi que leur représentation au sein de cette entité. Le journaliste cite par ailleurs les pays qui n'ont pas encore réglé leur dette vis-à-vis de L'Union africaine, au titre desquels, il cite le Maroc, alors que ce pays n'a jamais rien signé avec cette entité et qu'il n'a jamais fait partie de l'Union Africaine.
L&H
2 comments:
Je viens de prendre connaissance de ce blog. Il me semble être une bonne source d'information. Félicitations
c'est l'éternel probléme entre l'algérie et le maroc.
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