Le chef du parti algérien l'Union pour la Démocratie et les Libertés, M. Abdelkader Ouaâd, a qualifié la proposition du Maroc d'accorder l'autonomie aux provinces du sud sous la souveraineté marocaine de "bonne idée" et de "grand pas".
M. Ouaâd, qui a pris part au 54ème congrès de l'Internationale libérale dont les travaux ont pris fin à Marrakech, a ajouté, dans un entretien publié lundi par le quotidien Al-Ahdath Al-Maghibiya, que SM Mohammed VI est "un Roi ouvert au dialogue qui s'emploie activement pour résoudre le problème du Sahara dans les meilleurs délais et qui a pris ce grand pas" en vue de parvenir à une solution de ce conflit.
M. Ouaâd a noté que c'est "l'absence du dialogue entre les parties en conflit qui a permis à des parties étrangères de s'immiscer dans cette question". "L'Algérie n'a nullement le droit de s'ingérer dans la question du Sahara", a-t-il souligné, estimant que ce pays, "au même titre que l'Espagne, n'est pas partie (au conflit) et doit cesser de se mêler de cette question".
Le chef de l'Union pour la démocratie et les libertés a affirmé, en outre, que "la question du Sahara doit se régler à travers le dialogue et sous la supervision des Nations Unies".
M. Ouaâd, qui a pris part au 54ème congrès de l'Internationale libérale dont les travaux ont pris fin à Marrakech, a ajouté, dans un entretien publié lundi par le quotidien Al-Ahdath Al-Maghibiya, que SM Mohammed VI est "un Roi ouvert au dialogue qui s'emploie activement pour résoudre le problème du Sahara dans les meilleurs délais et qui a pris ce grand pas" en vue de parvenir à une solution de ce conflit.
M. Ouaâd a noté que c'est "l'absence du dialogue entre les parties en conflit qui a permis à des parties étrangères de s'immiscer dans cette question". "L'Algérie n'a nullement le droit de s'ingérer dans la question du Sahara", a-t-il souligné, estimant que ce pays, "au même titre que l'Espagne, n'est pas partie (au conflit) et doit cesser de se mêler de cette question".
Le chef de l'Union pour la démocratie et les libertés a affirmé, en outre, que "la question du Sahara doit se régler à travers le dialogue et sous la supervision des Nations Unies".
(Rabat, 13/11/06 - MAP)
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