Les Touaregs refuse d’être désarmés par crainte du GSPC Une rencontre urgente rassemblant les différents belligérants de la crise malienne, à Alger, s’est achevée par l’annonce de l’échec de l’accord d’Alger. Cet échec est dû à plusieurs raisons, dont le refus des rebelles touaregs d’être désarmés de peur qu’ils soient de nouveaux ciblés par le Groupe salafiste algérien pour la prédication et le combat (GSPC). Les deux parties en conflit se sont jetées la balle concernant le non respect des engagements pris, blâmant l’Algérie « qui n’a pas imposé son autorité pour régler le conflit ». Les Touareg se sont, provisoirement, retirés de la réunion pour manque de respect envers leurs représentants et pour avoir été écartés de la prise des décisions », selon l’Agence de presse africaine. La rencontre faisait partie d’une série de réunions ayant commencé le 6 novembre, et ont duré cinq jours.Des sources algériennes informées ayant suivi de près les négociations qui se sont déroulés sous l’égide du ministère de l’Intérieur ont indiqué qu’un grave malentendu entre les deux parties en conflit, lié au développement sécuritaires dans le nord de Kidal, a conduit les négociations à une impasse. Les membres de « l’Alliance démocratique pour le changement », dirigée par les notables touaregs, ayant refusé l’application de la clause relative au désarmement, incluse dans l’accord d’Alger, signé le 4 juillet passé.Le président de « la commission de surveillance de l’application de l’accord d’Alger », Mahamadou Diagourga, contrôleur général de la police malienne, à trouvé une grande difficulté à décrocher des concessions des deux parties. Les négociations sur l’application de l’accord n’ont enregistré aucun développement significatif depuis la création de la commission, au mois d’août dernier, indiquent les mêmes sources.
(El khabar)
كما تدين تدان
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