L'ancien président du gouvernement espagnol, M. Felipe Gonzalez, a affirmé, samedi à Castellar de la Frontera (Espagne), que le principe d'autonomie, proposé par le Maroc pour faire sortir la région de l'impasse dans laquelle elle se trouve, constitue "la meilleure solution pour toutes les parties concernées par le conflit" du Sahara.
S'exprimant lors d'une rencontre avec des journalistes marocains et andalous, organisée dans le cadre du 10-ème forum des journalistes du détroit de Gibraltar qui a ouvert ses travaux vendredi, M. Gonzalez, a souligné que l'Algérie est l'interlocuteur effectif du Maroc, et qu'à partir de ce constat, il faut revoir toutes les positions afin de parvenir à des solutions consensuelles au conflit.
L'ancien chef de l'exécutif espagnol a également estimé "inconcevable que les frontières entre le Maroc et l'Algérie soient fermées", précisant que cette situation "nuit aux performances économiques des deux pays et entrave le processus de l'Union du Maghreb Arabe (UMA) et la libre circulation des personnes".
Il a, par ailleurs, souligné que le Maroc est un pays d'avant-garde en matière de promotion des libertés publiques sur les plans arabe et islamique et s'est engagé dans une démarche démocratique claire, mettant en exergue les efforts énormes déployés dans ce sens.
S'agissant de la question de l'immigration clandestine, M. Gonzalez a estimé qu'il ne faut pas se concentrer uniquement sur la dimension sécuritaire de l'évolution de ce phénomène, mais il convient de prendre en considération son aspect humain, étant donné que les immigrés ont le droit de circuler pour chercher de meilleures conditions de vie.
Il a, dans ce sens, indiqué qu'il ne faut pas oublier que les Espagnols ont eux aussi émigré, il y a des décennies, aux pays voisins pour améliorer leurs conditions de vie.
S'exprimant lors d'une rencontre avec des journalistes marocains et andalous, organisée dans le cadre du 10-ème forum des journalistes du détroit de Gibraltar qui a ouvert ses travaux vendredi, M. Gonzalez, a souligné que l'Algérie est l'interlocuteur effectif du Maroc, et qu'à partir de ce constat, il faut revoir toutes les positions afin de parvenir à des solutions consensuelles au conflit.
L'ancien chef de l'exécutif espagnol a également estimé "inconcevable que les frontières entre le Maroc et l'Algérie soient fermées", précisant que cette situation "nuit aux performances économiques des deux pays et entrave le processus de l'Union du Maghreb Arabe (UMA) et la libre circulation des personnes".
Il a, par ailleurs, souligné que le Maroc est un pays d'avant-garde en matière de promotion des libertés publiques sur les plans arabe et islamique et s'est engagé dans une démarche démocratique claire, mettant en exergue les efforts énormes déployés dans ce sens.
S'agissant de la question de l'immigration clandestine, M. Gonzalez a estimé qu'il ne faut pas se concentrer uniquement sur la dimension sécuritaire de l'évolution de ce phénomène, mais il convient de prendre en considération son aspect humain, étant donné que les immigrés ont le droit de circuler pour chercher de meilleures conditions de vie.
Il a, dans ce sens, indiqué qu'il ne faut pas oublier que les Espagnols ont eux aussi émigré, il y a des décennies, aux pays voisins pour améliorer leurs conditions de vie.
(Map 12/11/06)
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