Les victimes de la torture barbare dans les camps de Tindouf, au sud-ouest de l'Algérie, "ont rompu le silence pour s'élever contre les actes de violence et de torture dont ils font l'objet, aux côtés de milliers d'autres, et dénoncer les crimes contre l'humanité qui y sont commis par le "polisario", écrit jeudi le quotidien libanais "Diar".
Dans une correspondance de Bruxelles sous l'intitulé "Crimes contre l'humanité et violations: les victimes rompent le silence", le journal souligne que la conférence de presse convoquée par l'Association "Med EuroCap" a mis en lumière "des actes barbares qui ont été perpétrés et le sont encore" dans les camps de Tindouf.
Ces victimes, poursuit la publication, ont choisi Bruxelles, au vu de son statut de capitale de l'Europe et de centre de défense des libertés et des droits de l'Homme, pour s'exprimer, faire entendre leur voix et réclamer réparation auprès Nations unies.
Ces personnes ont raconté comment elles avaient été conduites dans les campements et les prisons où "elles ont été torturées les yeux bandés, et où plusieurs d'entre elles ont été contraintes de se nourrir de morceaux de chaire découpés dans leurs propres corps ou de ceux de proches parmi les prisonniers", souligne "Diar", relevant que Monseigneur Jean Abboud, avocat, a appelé l'opinion publique internationale à prendre acte de ces barbaries perpétrées en violation des droits élémentaires de l'Homme, et exhorté les gouvernements, partis et organisations à rompre le silence et à démasquer les criminels.
L'Avocat belge a, également, appelé le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon à dépêcher sur place une commission d'enquête sur les agissements des membres du "polisario" et les violations des droits de l'Homme, en vue de traduire les auteurs de ces crimes devant la justice pour répondre de leurs actes, ajoute le journal, précisant que ces violations varient entre le rapt, les disparitions forcées, les arrestations arbitraires, le génocide et la torture physique et psychologique.
"Diar", qui a publié des photos de la conférence de presse et des victimes de la torture, a indiqué que plusieurs de ces victimes ont relaté leur calvaire et décrit en détail les techniques de torture utilisées à leur encontre.
Et de conclure que Mgr Jean Abboud et plusieurs de ces victimes du Maroc et de Mauritanie se rendront au Liban où ils donneront, mardi prochain, une conférence de presse à Beyrouth sur "la torture barbare encore pratiquée par les bandes organisées et les organisations terroristes".
Beyrouth, 10/07/08 - MAP
Dans une correspondance de Bruxelles sous l'intitulé "Crimes contre l'humanité et violations: les victimes rompent le silence", le journal souligne que la conférence de presse convoquée par l'Association "Med EuroCap" a mis en lumière "des actes barbares qui ont été perpétrés et le sont encore" dans les camps de Tindouf.
Ces victimes, poursuit la publication, ont choisi Bruxelles, au vu de son statut de capitale de l'Europe et de centre de défense des libertés et des droits de l'Homme, pour s'exprimer, faire entendre leur voix et réclamer réparation auprès Nations unies.
Ces personnes ont raconté comment elles avaient été conduites dans les campements et les prisons où "elles ont été torturées les yeux bandés, et où plusieurs d'entre elles ont été contraintes de se nourrir de morceaux de chaire découpés dans leurs propres corps ou de ceux de proches parmi les prisonniers", souligne "Diar", relevant que Monseigneur Jean Abboud, avocat, a appelé l'opinion publique internationale à prendre acte de ces barbaries perpétrées en violation des droits élémentaires de l'Homme, et exhorté les gouvernements, partis et organisations à rompre le silence et à démasquer les criminels.
L'Avocat belge a, également, appelé le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon à dépêcher sur place une commission d'enquête sur les agissements des membres du "polisario" et les violations des droits de l'Homme, en vue de traduire les auteurs de ces crimes devant la justice pour répondre de leurs actes, ajoute le journal, précisant que ces violations varient entre le rapt, les disparitions forcées, les arrestations arbitraires, le génocide et la torture physique et psychologique.
"Diar", qui a publié des photos de la conférence de presse et des victimes de la torture, a indiqué que plusieurs de ces victimes ont relaté leur calvaire et décrit en détail les techniques de torture utilisées à leur encontre.
Et de conclure que Mgr Jean Abboud et plusieurs de ces victimes du Maroc et de Mauritanie se rendront au Liban où ils donneront, mardi prochain, une conférence de presse à Beyrouth sur "la torture barbare encore pratiquée par les bandes organisées et les organisations terroristes".
Beyrouth, 10/07/08 - MAP
No comments:
Post a Comment