Amnesty International a rendu public, cette semaine, son rapport annuel sur la situation des droits de l’homme. La cuvée 2008 épingle sans surprise le Maroc, qui a connu une année chargée. Liberté de la presse, harcèlement des défenseurs de droits de l’homme, arrestation et expulsion massive des migrants… L’Association s’est contentée de recenser très sobrement les violations constatées sans donner son avis. Seule déclaration chaude : la question des droits de l’homme au Sahara, sur laquelle le directeur général de la section Maroc, Mohamed Sektaoui, a pris une position. “Nous demandons à ce que les auteurs des graves violations dans les camps de Tindouf soient traduits en justice”, a-t-il déclaré lors de la conférence de presse de présentation du rapport. TALQUEL 17/07/2007
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