Lisez bien ce que ce pauvre journaliste écrit:
Le Conseil de sécurité a adopté à l’unanimité sa résolution sur le Sahara occidental. Vous la relirez 1 000 fois, vous ne trouverez trace du mot autonomie. Bien plus vous ne relèverez aucune allusion à ce néo-protectorat. Il n’y a que l’ambassadeur de France au Maroc pour croire ou plutôt laisser croire qu’autonomie et autodétermination c’était kif-kif.
Une déclaration pour consoler ? En revanche, la résolution, dont la rédaction avait fait l’objet d’empoignades au point que son vote fut retardé du vendredi au lundi, stipule clairement que le règlement du conflit du Sahara occidental devra passer obligatoirement par l’autodétermination.
Un principe cardinal des Nations unies qu’on ne peut contourner même si on excelle dans les chlaweches politiques. Le trio Paris-Madrid-Washington, qui s’est aligné sur le trône alaouite, a-t-il pu le faire ? Les 169 congressmen americains mobilisés par les lobbys juifs l’ont-ils pu, eux qui viennent subitement de découvrir le conflit du Sahara occidental, vieux déjà de plus de trente ans ? Comme au Proche- Orient, ils se sont mis du côté de l’envahisseur, ils ont appuyé l’agresseur.
Pour rien ! Ou, pour être plus juste, sans parvenir au résultat politique visé ! Indépendamment des réactions de circonstances et des cocoricos enroués, la résolution 1754 a dû être une douche écossaise pour Rabat et ses appuis. Eux qui, à un certain moment, voulaient coûte que coûte pousser l’Algérie à se substituer au Polisario dans des négociations avec le Maroc.
Sachant qu’Alger n’a aucune prétention sur l’ancienne colonie espagnole et que, face au conflit fratricide, elle s’en tient à la légalité internationale. Particulièrement au droit des peuples à l’autodétermination, épreuve que les Algériens avaient acceptée et qui a abouti à l’indépendance du pays après une colonisation française de 132 ans.
le jeune indépendant...02/05/2007
Une déclaration pour consoler ? En revanche, la résolution, dont la rédaction avait fait l’objet d’empoignades au point que son vote fut retardé du vendredi au lundi, stipule clairement que le règlement du conflit du Sahara occidental devra passer obligatoirement par l’autodétermination.
Un principe cardinal des Nations unies qu’on ne peut contourner même si on excelle dans les chlaweches politiques. Le trio Paris-Madrid-Washington, qui s’est aligné sur le trône alaouite, a-t-il pu le faire ? Les 169 congressmen americains mobilisés par les lobbys juifs l’ont-ils pu, eux qui viennent subitement de découvrir le conflit du Sahara occidental, vieux déjà de plus de trente ans ? Comme au Proche- Orient, ils se sont mis du côté de l’envahisseur, ils ont appuyé l’agresseur.
Pour rien ! Ou, pour être plus juste, sans parvenir au résultat politique visé ! Indépendamment des réactions de circonstances et des cocoricos enroués, la résolution 1754 a dû être une douche écossaise pour Rabat et ses appuis. Eux qui, à un certain moment, voulaient coûte que coûte pousser l’Algérie à se substituer au Polisario dans des négociations avec le Maroc.
Sachant qu’Alger n’a aucune prétention sur l’ancienne colonie espagnole et que, face au conflit fratricide, elle s’en tient à la légalité internationale. Particulièrement au droit des peuples à l’autodétermination, épreuve que les Algériens avaient acceptée et qui a abouti à l’indépendance du pays après une colonisation française de 132 ans.
le jeune indépendant...02/05/2007
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