Ce chiffre livré hier par le consultant Malek Sarraï, à l’occasion d’une conférence débat sur le thème de l’investissement, explique l’abstention lors des récentes élections législatives, a-t-il indiqué, lors de cette rencontre organisée par le quotidien El Moudjahid.
Cette situation est, notamment, due au fait que «des agréments pour des projets d’investissements sont délivrés aux jeunes par l’ANDI, l’ANSEJ ou la CNAC sans que ces organismes sachent le devenir de ces autorisations», a expliqué le conférencier.
Selon cet expert, les entraves qui bloquent l’investissement en Algérie vont bien au-delà des problèmes classiques qui sont déjà connus et exposés à chaque débat sur l’investissement, comme la bureaucratie, la corruption, le foncier ou encore l’accès au financement bancaire.
M. Serraï est allé jusqu’à parler de véritables «lobbys proaméricain et profrançais» qui bloquent les projets d’investissements en Algérie. Il a cité, dans ce cadre, le cas d’un investisseur arabe qui a présenté un dossier d’investissement au niveau de l’administration concernée en Algérie, à savoir l’ANDI, avant d’être contacté, à sa grande surprise, par des intermédiaires en France qui ont eu accès à son dossier et tenté de le convaincre d’investir son argent ailleurs, par exemple en France.
Des affirmations qui sont venues balayer d’un revers de main l’état des lieux flamboyant dressé par le directeur général de l’ANDI et qui a tenté, chiffres à l’appui, de démontrer que le climat de l’investissement en Algérie s’est nettement amélioré à la faveur d’un nouveau code de l’investissement.
par Safia Berkouk ,le jeune-indépedant,22/05/2007
Cette situation est, notamment, due au fait que «des agréments pour des projets d’investissements sont délivrés aux jeunes par l’ANDI, l’ANSEJ ou la CNAC sans que ces organismes sachent le devenir de ces autorisations», a expliqué le conférencier.
Selon cet expert, les entraves qui bloquent l’investissement en Algérie vont bien au-delà des problèmes classiques qui sont déjà connus et exposés à chaque débat sur l’investissement, comme la bureaucratie, la corruption, le foncier ou encore l’accès au financement bancaire.
M. Serraï est allé jusqu’à parler de véritables «lobbys proaméricain et profrançais» qui bloquent les projets d’investissements en Algérie. Il a cité, dans ce cadre, le cas d’un investisseur arabe qui a présenté un dossier d’investissement au niveau de l’administration concernée en Algérie, à savoir l’ANDI, avant d’être contacté, à sa grande surprise, par des intermédiaires en France qui ont eu accès à son dossier et tenté de le convaincre d’investir son argent ailleurs, par exemple en France.
Des affirmations qui sont venues balayer d’un revers de main l’état des lieux flamboyant dressé par le directeur général de l’ANDI et qui a tenté, chiffres à l’appui, de démontrer que le climat de l’investissement en Algérie s’est nettement amélioré à la faveur d’un nouveau code de l’investissement.
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