Depuis sa création, il y a peu de temps, la chaîne de télévision «Al Jazeera, Maghreb Arabe», dont le siége se trouve au Maroc, ne cesse pas de dénigrer la réalité au profit, et c’est de plus en plus flagrant, de la manipulation des autorités marocaines vis-à-vis du dossier du Sahara Occidental, entre autres thèmes.
Commentant, la visite effectuée par le président du Gouvernement espagnol, Luis Zapatéro, en Algérie, cette chaîne de télévision, qui ne cesse de tirer la sonnette d’alarme en ce qui concerne l’attentat terroriste ayant ciblé des employés du BRC, en Algérie, n’a pas hésité à annoncer, contre toute vérité, que le président algérien Abdelaziz Bouteflika a demandé à ce responsable espagnol de l’aider dans le dossier du Sahara Occidental, laissant croire que la diplomatie algérienne a été vaincue par celle marocaine par rapport à la cause sahraouie.
Ce qui est une déformation de la réalité, dont a été auteure cette chaîne de télévision qatarie qui évite de fâcher les autorités marocaines, souvent aux dépens de la vérité.
Ceci, malgré que les autorités algériennes et leurs homologues espagnoles ont été très explicites en ce qui concerne ce dossier. L’Algérie a, tout simplement, demandé aux autorités espagnoles de clarifier leurs positions par rapport au dossier du Sahara Occidental.
Ce qui ne constitue, nullement, une demande d’aide, comme tente de le faire croire Al Jazeera. Cette chaîne de télévision ne manque pas de revenir, depuis l’attentat terroriste ciblant des employés du BRC, sur la situation sécuritaire en Algérie, diffusant à chaque fois une vidéo enregistrée par le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), montrant une patrouille de l’ANP tombant dans une embuscade tendue par l’organisation terroriste de Mossab Abdelouadoud. Le lien entre ces deux thèmes que sont le dossier du Sahara Occidental et le terrorisme, totalement distincts, est, pour cette chaîne de télévision qatarie, un outil pour se joindre à la propagande marocaine, qui tente de faire croire que le terrorisme pourrait s’amplifier dans le Maghreb arabe dans le cas où le peuple sahraoui accéderait à son indépendance, présentant la menace du GSPC comme probable futur allié des Sahraouis. Une thèse reposant sur le mensonge et qui a pour but de saboter toute possibilité d’indépendance de ce peuple souffrant, des décennies durant, de la colonisation marocaine.
La chaîne de télévision qatarie évite de parler de pays quand il s’agit du peuple sahraoui, en se contentant de parler de «territoires sahraouis».
Des officiels marocains se mettent carrément de la partie, comme l’actuel ministre marocain Chakib Benmoussa qui, dans un entretien publié, lundi, par le journal local «L’économiste» a dit que «parmi les sept cellules terroristes démantelées depuis le début de l’année, certaines ont des liens avec des groupes étrangers comme le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien ou le réseau al-Qaïda». L’expérience internationale a cependant démontré que le principe des vases communiquants entre les réseaux de drogue et de terrorisme peuvent exister, ce qui «implique beaucoup de vigilance», ajoute-t-il, sans toutefois aller au fond des choses, puisqu’il n’avoue pas que de très importantes quantités de drogue introduites en Algérie proviennent du Maroc. Il reconnaît, d’autre part, que la cellule d’Ansar al-Mahdi, qui serait, selon lui, une organisation terroriste marocaine liée au GSPC, démantelée en août dernier par les autorités marocaines, comptait cinq militaires, trois gendarmes et un officier de police.
(le jour d'Algérie)
Commentant, la visite effectuée par le président du Gouvernement espagnol, Luis Zapatéro, en Algérie, cette chaîne de télévision, qui ne cesse de tirer la sonnette d’alarme en ce qui concerne l’attentat terroriste ayant ciblé des employés du BRC, en Algérie, n’a pas hésité à annoncer, contre toute vérité, que le président algérien Abdelaziz Bouteflika a demandé à ce responsable espagnol de l’aider dans le dossier du Sahara Occidental, laissant croire que la diplomatie algérienne a été vaincue par celle marocaine par rapport à la cause sahraouie.
Ce qui est une déformation de la réalité, dont a été auteure cette chaîne de télévision qatarie qui évite de fâcher les autorités marocaines, souvent aux dépens de la vérité.
Ceci, malgré que les autorités algériennes et leurs homologues espagnoles ont été très explicites en ce qui concerne ce dossier. L’Algérie a, tout simplement, demandé aux autorités espagnoles de clarifier leurs positions par rapport au dossier du Sahara Occidental.
Ce qui ne constitue, nullement, une demande d’aide, comme tente de le faire croire Al Jazeera. Cette chaîne de télévision ne manque pas de revenir, depuis l’attentat terroriste ciblant des employés du BRC, sur la situation sécuritaire en Algérie, diffusant à chaque fois une vidéo enregistrée par le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), montrant une patrouille de l’ANP tombant dans une embuscade tendue par l’organisation terroriste de Mossab Abdelouadoud. Le lien entre ces deux thèmes que sont le dossier du Sahara Occidental et le terrorisme, totalement distincts, est, pour cette chaîne de télévision qatarie, un outil pour se joindre à la propagande marocaine, qui tente de faire croire que le terrorisme pourrait s’amplifier dans le Maghreb arabe dans le cas où le peuple sahraoui accéderait à son indépendance, présentant la menace du GSPC comme probable futur allié des Sahraouis. Une thèse reposant sur le mensonge et qui a pour but de saboter toute possibilité d’indépendance de ce peuple souffrant, des décennies durant, de la colonisation marocaine.
La chaîne de télévision qatarie évite de parler de pays quand il s’agit du peuple sahraoui, en se contentant de parler de «territoires sahraouis».
Des officiels marocains se mettent carrément de la partie, comme l’actuel ministre marocain Chakib Benmoussa qui, dans un entretien publié, lundi, par le journal local «L’économiste» a dit que «parmi les sept cellules terroristes démantelées depuis le début de l’année, certaines ont des liens avec des groupes étrangers comme le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien ou le réseau al-Qaïda». L’expérience internationale a cependant démontré que le principe des vases communiquants entre les réseaux de drogue et de terrorisme peuvent exister, ce qui «implique beaucoup de vigilance», ajoute-t-il, sans toutefois aller au fond des choses, puisqu’il n’avoue pas que de très importantes quantités de drogue introduites en Algérie proviennent du Maroc. Il reconnaît, d’autre part, que la cellule d’Ansar al-Mahdi, qui serait, selon lui, une organisation terroriste marocaine liée au GSPC, démantelée en août dernier par les autorités marocaines, comptait cinq militaires, trois gendarmes et un officier de police.
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