Rabat, 14/11/07-Un sit-in a été organisé mercredi devant le siège de la représentation des Nations Unies à Rabat, pour réclamer que la lumière soit faite sur le sort des Marocains disparus dans les camps de Tindouf.
Les participants à ce mouvement, initié par l'association nationale des familles des martyrs et des disparus du Sahara marocain, ont scandé des slogans dénonçant la torture infligée aux Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf et appelant à la poursuite de la lutte pour que le sort des Marocains disparus soit élucidé.
Dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU et remise à la coordination onusienne au Maroc, l'Association a appelé à exercer des pressions sur ''l'Algérie et sa marionnette (le polisario) pour éclaircir sans atermoiements la situation des Marocains disparus" et pour que "les dépouilles des personnes décédées sous la torture soient remises à leurs familles''.
L'Association a, en outre, demandé à l'organisation onusienne de ''mettre un terme aux souffrances des familles marocaines privées de leurs proches suite au conflit artificiel autour du Sahara qui dure depuis longtemps''.
Elle a également incité le secrétaire général de l'Onu à oeuvrer pour ''traduire devant la justice les tortionnaires du polisario et l'Etat algérien impliqués dans les violences et les massacres des séquestrés marocains afin de mettre un terme à l'impunité''.
L'Association a rappelé que le ''dossier humanitaire en rapport avec le conflit du Sahara n'a pas été résolu de manière définitive'', rappelant à ce propos que "le cas des disparus reste encore en suspens, en violation flagrante des conventions internationales relatives aux droits de l'Homme et au droit humanitaire international''.
La même source relève, par ailleurs, que malgré "les grands efforts" déployés par la Croix rouge internationale, "l'influence de celle-ci sur les parties concernées reste très limitée", notant que ''les familles des disparus marocains ont assez souffert de toutes les formes de privation, même de leurs droits les plus élémentaires, en ce sens qu'elles n'ont pas reçu la moindre information des leurs, depuis leur disparition".
L'association a enfin appelé l'ONU ''à faire de cette année celle de la vérité sur le sort des disparus de la guerre du Sahara''.
Les participants à ce mouvement, initié par l'association nationale des familles des martyrs et des disparus du Sahara marocain, ont scandé des slogans dénonçant la torture infligée aux Marocains séquestrés dans les camps de Tindouf et appelant à la poursuite de la lutte pour que le sort des Marocains disparus soit élucidé.
Dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU et remise à la coordination onusienne au Maroc, l'Association a appelé à exercer des pressions sur ''l'Algérie et sa marionnette (le polisario) pour éclaircir sans atermoiements la situation des Marocains disparus" et pour que "les dépouilles des personnes décédées sous la torture soient remises à leurs familles''.
L'Association a, en outre, demandé à l'organisation onusienne de ''mettre un terme aux souffrances des familles marocaines privées de leurs proches suite au conflit artificiel autour du Sahara qui dure depuis longtemps''.
Elle a également incité le secrétaire général de l'Onu à oeuvrer pour ''traduire devant la justice les tortionnaires du polisario et l'Etat algérien impliqués dans les violences et les massacres des séquestrés marocains afin de mettre un terme à l'impunité''.
L'Association a rappelé que le ''dossier humanitaire en rapport avec le conflit du Sahara n'a pas été résolu de manière définitive'', rappelant à ce propos que "le cas des disparus reste encore en suspens, en violation flagrante des conventions internationales relatives aux droits de l'Homme et au droit humanitaire international''.
La même source relève, par ailleurs, que malgré "les grands efforts" déployés par la Croix rouge internationale, "l'influence de celle-ci sur les parties concernées reste très limitée", notant que ''les familles des disparus marocains ont assez souffert de toutes les formes de privation, même de leurs droits les plus élémentaires, en ce sens qu'elles n'ont pas reçu la moindre information des leurs, depuis leur disparition".
L'association a enfin appelé l'ONU ''à faire de cette année celle de la vérité sur le sort des disparus de la guerre du Sahara''.
MAP 15/11/2007.
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