Londres, 08/11/07 - Les représentants d'organisations non gouvernementales britanniques ont dénoncé, mercredi soir, les violations massives des droits de l'homme commises dans les camps du polisario à Tindouf, en Algérie, appelant la communauté internationale à intervenir pour mettre fin à l'état de siège imposé à la population séquestrée dans ces camps.
Lors d'un débat subsidiaire, tenu au parlement de Westminster à la demande du député travailliste Jeremy Corbyn, ces acteurs britanniques ont notamment cité les pratiques d'esclavage encouragées par la "direction du polisario". "Ces pratiques révolues et abolies de par le monde existent malheureusement de nos jours dans une région qui relève juridiquement du territoire algérien", ont dit les participants à cette rencontre, se référant à une enquête menée récemment dans les camps de Tindouf par deux journalistes australiens.
La communauté internationale doit intervenir pour faire toute la lumière sur ce scandale, ajoutent-il, dénonçant également la répression et la torture commises par les dirigeants du "polisario" contre les hommes, les femmes et les enfants dans les camps de Tindouf.
Les intervenant ont également souligné que des centaines d'enfants sont arrachés à leurs familles et déportés à Cuba où ils sont soumis aux pires abus et violations au mépris de leurs droits fondamentaux à l'éducation, à la santé et à une vie digne et stable parmi les leurs.
Parallèlement, les représentants des ONG britanniques n'ont pas manqué de condamner le détournement par les dirigeants du "polisario" de l'aide humanitaire destinée aux populations séquestrée, une réalité constatée, ont-il indiqué, par plusieurs observateurs indépendants et internationaux.
Les intervenants ont, par ailleurs, appelé la communauté internationale à oeuvrer en faveur de la levée du siège imposé aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf afin de leur permettre de regagner les leurs dans les provinces du sud du Maroc.
Ils ont également tenu à souligner les efforts de démocratisation et de renforcement de la culture des droits de l'homme que le Maroc ne cesse de consentir. Ces efforts, ont-il indiqué, sont connus et reconnus par toute la communauté internationale.
Dans ce même ordre d'idée, les représentants des ONG britanniques ont souligné que l'initiative du Maroc de négocier une autonomie élargie pour ses provinces du sud sous souveraineté marocaine s'inscrit tout naturellement en droite ligne de cet élan de démocratisation, adopté en tant que choix irréversible.
Ils ont également souligné que cette initiative, qualifiée de "sérieuse et crédible" par le Conseil de Sécurité de l'Onu et par plusieurs pays, a été soutenue par 121 députés britanniques.
Rappelons que 121 membres de la Chambre des Communes (chambre basse du parlement britannique) ont signé récemment une motion de soutien à l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie de la région du Sahara. Dans cette motion, les députés britanniques, représentant toutes les formations politiques du Royaume-Uni, ont souligné avoir accueilli "favorablement l'initiative marocaine d'accorder une large autonomie au Sahara".
Ils ont relevé que cette initiative "offre l'opportunité de répondre aux revendications des séparatistes, en garantissant à tous les Sahraouis (...) un rôle important dans les instances et institutions de la région, tout en reconnaissant la souveraineté et l'intégrité territoriale du Maroc".
Visiblement déstabilisés par les remarques pertinentes des représentants des ONG britanniques, appuyées par des arguments irréfutables, des séparatiste ayant pris part au débat de mercredi soir, n'ont pu que reconnaître que "l'aide humanitaire est bel bien détournées par certaines personnes". Ils ont également reconnu que "des jeunes sahraouis sont envoyés à Cuba et dans d'autres pays", allant même jusqu'à scander, à la surprise de l'assistance, des slogans faisant l'éloge de Cuba.
Plusieurs personnes prenant part au débat n'ont pas manqué de dénoncer le comportement des représentants des séparatistes, qui, ont-il dit, "n'ont fait montre d'aucun respect pour le lieu où la rencontre se déroulait".
Lors d'un débat subsidiaire, tenu au parlement de Westminster à la demande du député travailliste Jeremy Corbyn, ces acteurs britanniques ont notamment cité les pratiques d'esclavage encouragées par la "direction du polisario". "Ces pratiques révolues et abolies de par le monde existent malheureusement de nos jours dans une région qui relève juridiquement du territoire algérien", ont dit les participants à cette rencontre, se référant à une enquête menée récemment dans les camps de Tindouf par deux journalistes australiens.
La communauté internationale doit intervenir pour faire toute la lumière sur ce scandale, ajoutent-il, dénonçant également la répression et la torture commises par les dirigeants du "polisario" contre les hommes, les femmes et les enfants dans les camps de Tindouf.
Les intervenant ont également souligné que des centaines d'enfants sont arrachés à leurs familles et déportés à Cuba où ils sont soumis aux pires abus et violations au mépris de leurs droits fondamentaux à l'éducation, à la santé et à une vie digne et stable parmi les leurs.
Parallèlement, les représentants des ONG britanniques n'ont pas manqué de condamner le détournement par les dirigeants du "polisario" de l'aide humanitaire destinée aux populations séquestrée, une réalité constatée, ont-il indiqué, par plusieurs observateurs indépendants et internationaux.
Les intervenants ont, par ailleurs, appelé la communauté internationale à oeuvrer en faveur de la levée du siège imposé aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf afin de leur permettre de regagner les leurs dans les provinces du sud du Maroc.
Ils ont également tenu à souligner les efforts de démocratisation et de renforcement de la culture des droits de l'homme que le Maroc ne cesse de consentir. Ces efforts, ont-il indiqué, sont connus et reconnus par toute la communauté internationale.
Dans ce même ordre d'idée, les représentants des ONG britanniques ont souligné que l'initiative du Maroc de négocier une autonomie élargie pour ses provinces du sud sous souveraineté marocaine s'inscrit tout naturellement en droite ligne de cet élan de démocratisation, adopté en tant que choix irréversible.
Ils ont également souligné que cette initiative, qualifiée de "sérieuse et crédible" par le Conseil de Sécurité de l'Onu et par plusieurs pays, a été soutenue par 121 députés britanniques.
Rappelons que 121 membres de la Chambre des Communes (chambre basse du parlement britannique) ont signé récemment une motion de soutien à l'initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie de la région du Sahara. Dans cette motion, les députés britanniques, représentant toutes les formations politiques du Royaume-Uni, ont souligné avoir accueilli "favorablement l'initiative marocaine d'accorder une large autonomie au Sahara".
Ils ont relevé que cette initiative "offre l'opportunité de répondre aux revendications des séparatistes, en garantissant à tous les Sahraouis (...) un rôle important dans les instances et institutions de la région, tout en reconnaissant la souveraineté et l'intégrité territoriale du Maroc".
Visiblement déstabilisés par les remarques pertinentes des représentants des ONG britanniques, appuyées par des arguments irréfutables, des séparatiste ayant pris part au débat de mercredi soir, n'ont pu que reconnaître que "l'aide humanitaire est bel bien détournées par certaines personnes". Ils ont également reconnu que "des jeunes sahraouis sont envoyés à Cuba et dans d'autres pays", allant même jusqu'à scander, à la surprise de l'assistance, des slogans faisant l'éloge de Cuba.
Plusieurs personnes prenant part au débat n'ont pas manqué de dénoncer le comportement des représentants des séparatistes, qui, ont-il dit, "n'ont fait montre d'aucun respect pour le lieu où la rencontre se déroulait".
MAP 08/11/2007
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