L'Association la Tribune Sahraouie (ATS) a interpellé le Scrétaire général des Nations Unies, M. Ban ki-moon, au sujet de la déportation d'enfants sahraouis à Cuba, la séquestration des populations dans les camps de Tindouf et l'esclavagisme qui y est toujours pratiqué.
Dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU, dont la MAP a obtenu samedi copie, l'ATS affirme que les rapports des ONG et les dépositions recueillies auprès des rescapés du "calvaire de Tindouf" renseignent sur les pratiques d'esclavagisme, la déportation d'enfants sahraouis à Cuba et la séquestration des populations vulnérables, soulignant que ces pratiques sont "infligées aux populations des camps de Tindouf par le Polisario avec la bénédiction de l'appareil sécuritaire algérien".
Le Royaume du Maroc, rappelle la lettre, avait demandé au HCR de procéder à un recensement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf selon des règles bien établies et reconnues par tous, dénonçant le "refus systématique de cette demande par l'Algérie", qui, insiste l'ATS, "doit accomplir cette obligation envers le HCR et la communauté internationale, en sa qualité d'Etat partie à la convention de 1951".
Cette démarche, note la lettre, "permettra par la suite de déterminer le volume de l'assistance humanitaire fournie par le HCR, les donateurs et les ONG et mettra fin aux détournements de cette aide par les dirigeants du front Polisario".
Le Maroc, souligne l'Association la Tribune Sahraouie, n'a cessé d'œuvrer avec détermination pour résoudre le conflit du Sahara, qui résulte de la guerre froide, dans l'intérêt de tous les Etats du Maghreb et la stabilité régionale, rappelant dans ce cadre l'initiative d'autonomie dans les provinces du Sud, sous souveraineté marocaine, comme solution politique équitable.
Cette proposition courageuse, qui a suscité les encouragements de la communauté internationale et a été qualifiée de sérieuse et crédible par le Conseil de sécurité, "permettra de mettre fin aux souffrances qu'endurent des dizaines de milliers de familles sahraouies marocaines séquestrées à Tindouf par le Polisario et l'appareil sécuritaire de l'armée algérienne", conclut la lettre.Paris, 27/12/2008
Dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU, dont la MAP a obtenu samedi copie, l'ATS affirme que les rapports des ONG et les dépositions recueillies auprès des rescapés du "calvaire de Tindouf" renseignent sur les pratiques d'esclavagisme, la déportation d'enfants sahraouis à Cuba et la séquestration des populations vulnérables, soulignant que ces pratiques sont "infligées aux populations des camps de Tindouf par le Polisario avec la bénédiction de l'appareil sécuritaire algérien".
Le Royaume du Maroc, rappelle la lettre, avait demandé au HCR de procéder à un recensement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf selon des règles bien établies et reconnues par tous, dénonçant le "refus systématique de cette demande par l'Algérie", qui, insiste l'ATS, "doit accomplir cette obligation envers le HCR et la communauté internationale, en sa qualité d'Etat partie à la convention de 1951".
Cette démarche, note la lettre, "permettra par la suite de déterminer le volume de l'assistance humanitaire fournie par le HCR, les donateurs et les ONG et mettra fin aux détournements de cette aide par les dirigeants du front Polisario".
Le Maroc, souligne l'Association la Tribune Sahraouie, n'a cessé d'œuvrer avec détermination pour résoudre le conflit du Sahara, qui résulte de la guerre froide, dans l'intérêt de tous les Etats du Maghreb et la stabilité régionale, rappelant dans ce cadre l'initiative d'autonomie dans les provinces du Sud, sous souveraineté marocaine, comme solution politique équitable.
Cette proposition courageuse, qui a suscité les encouragements de la communauté internationale et a été qualifiée de sérieuse et crédible par le Conseil de sécurité, "permettra de mettre fin aux souffrances qu'endurent des dizaines de milliers de familles sahraouies marocaines séquestrées à Tindouf par le Polisario et l'appareil sécuritaire de l'armée algérienne", conclut la lettre.Paris, 27/12/2008
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