Des éléments pro-polisario ont violemment agressé, samedi soir place du Trocadéro à Paris, des Marocains, blessant cinq d'entre eux, dont deux grièvement.
Les deux blessés graves, une jeune fille et un homme, ont été évacués par ambulance. Ils ont pu quitter l'hô pital tard dans la soirée après avoir reçu les soins nécessaires.Ces Marocains ont été victime d'un déchaînement de violence de la part des nervis du polisario qui venaient de quitter un rassemblement en faveur des séparatistes tenu sur cette place près de la Tour Eiffel.Ils se sont rués sur eux parce que l'un d'eux a été vêtu d'une daraïa sahraouie et l'autre avait un drapeau marocain replié et étaient de retour d'une manifestation dénonçant les actes de vandalisme commis à Laâyoune et la manipulation de ces incidents notamment par les médias espagnols.Les cinq marocains ont été encerclés par une vingtaine de séparatistes haineux et excités, avant que les coups ne pleuvent.Sanae Chekroun, une jeune étudiante marocaine établie avec sa famille à Paris, a eu le tort, aux yeux de ces voyous, de passer par là pour emprunter le métro en compagnie de sa mère.A la suite de son agression, elle a été hospitalisée pour des soins urgents de son nez fracturé. Encore sous le choc de ces actes d'une "extrême sauvagerie", elle a raconté à la MAP comment elle a été violemment agressée.L'autre blessé grave, Houssine Bitar, demeurant à Mulhouse (Est), a été, de son cô té, pris à partie par une quinzaine de séparatistes qui avaient pris le soin de dissimuler leur visage sous des chèches noirs ou bleus. Ils l'ont passé à tabac, lui assénant des coups à la tête par des bâtons en bois et des manchons de drapeaux de la pseudo "rasd".Victime d'un traumatisme crânien, les médecins de l'hô pital Amrboise Paré lui ont prescrit un arrêt de travail de 21 jours et une Incapacité Temporaire de Travail (ITT) de 15 jours.Il a raconté à la MAP avoir été aussi délesté par cette bande de vandales de toutes ses affaires personnelles: lunettes, portefeuille, appareil photo, caméra et téléphone portable.Les deux blessés ont affirmé qu'ils allaient porter plainte contre les organisateurs du rassemblement pro-polisario.La scène, qui s'est déroulée à un moment d'affluence sur l'emblématique "Parvis des Droits de l'Homme" de la capitale française, a scandalisé les passants et les touristes choqués par un tels déferlement de violence.
Les deux blessés graves, une jeune fille et un homme, ont été évacués par ambulance. Ils ont pu quitter l'hô pital tard dans la soirée après avoir reçu les soins nécessaires.Ces Marocains ont été victime d'un déchaînement de violence de la part des nervis du polisario qui venaient de quitter un rassemblement en faveur des séparatistes tenu sur cette place près de la Tour Eiffel.Ils se sont rués sur eux parce que l'un d'eux a été vêtu d'une daraïa sahraouie et l'autre avait un drapeau marocain replié et étaient de retour d'une manifestation dénonçant les actes de vandalisme commis à Laâyoune et la manipulation de ces incidents notamment par les médias espagnols.Les cinq marocains ont été encerclés par une vingtaine de séparatistes haineux et excités, avant que les coups ne pleuvent.Sanae Chekroun, une jeune étudiante marocaine établie avec sa famille à Paris, a eu le tort, aux yeux de ces voyous, de passer par là pour emprunter le métro en compagnie de sa mère.A la suite de son agression, elle a été hospitalisée pour des soins urgents de son nez fracturé. Encore sous le choc de ces actes d'une "extrême sauvagerie", elle a raconté à la MAP comment elle a été violemment agressée.L'autre blessé grave, Houssine Bitar, demeurant à Mulhouse (Est), a été, de son cô té, pris à partie par une quinzaine de séparatistes qui avaient pris le soin de dissimuler leur visage sous des chèches noirs ou bleus. Ils l'ont passé à tabac, lui assénant des coups à la tête par des bâtons en bois et des manchons de drapeaux de la pseudo "rasd".Victime d'un traumatisme crânien, les médecins de l'hô pital Amrboise Paré lui ont prescrit un arrêt de travail de 21 jours et une Incapacité Temporaire de Travail (ITT) de 15 jours.Il a raconté à la MAP avoir été aussi délesté par cette bande de vandales de toutes ses affaires personnelles: lunettes, portefeuille, appareil photo, caméra et téléphone portable.Les deux blessés ont affirmé qu'ils allaient porter plainte contre les organisateurs du rassemblement pro-polisario.La scène, qui s'est déroulée à un moment d'affluence sur l'emblématique "Parvis des Droits de l'Homme" de la capitale française, a scandalisé les passants et les touristes choqués par un tels déferlement de violence.
MAP 19-11-2010
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