L'offensive diplomatique marocaine gagne du terrain, Les derniers développements enregistrés dans le dossier du Sahara marocain viennent en droite ligne avec le souhait des Nations unies de boucler un dossier vieux d'une trentaine d'années.En effet, le projet d'autonomie concernant les provinces du Sud, présenté par une délégation ministérielle de haut niveau dépêchée par S.M. le Roi auprès de différentes capitales, a reçu un écho positif.En témoignent les déclarations des différents responsables étrangers à la suite de leurs rencontres avec les représentants du Souverain. Des déclarations qui font pâlir plus d'un diplomate algérien.Ces derniers n'ont de cesse de se mettre en porte-à-faux en le domaine. Normal, quand la réalité ne correspond pas aux chimères expansionnistes d'Alger, on se charge de la maquiller. Telle est la diplomatie algérienne qui éclate en bulles incongrues. Le tout baignant bien sûr dans une propagande ininterrompue, à peine masquée, de soutien à un mouvement de terroristes, appelé communément le polisario. Le problème est que cette campagne insistante met sous le boisseau tout espoir pour ce pays maghrébin de faire surface de manière crédible dans le concert des nations. Gageons cependant qu'avec le temps et une certaine ouverture d'esprit, de plus en plus de responsables algériens comprendront que la meilleure manière de tirer bénéfice des revers subis, tant à la Conférence des Non Alignés qu'à la 4e Commission des Nations unies, n'est autre que d'exprimer les réelles attentes. Faut-il pour cela que cela ne concerne en aucun cas l'intégrité territoriale d'un pays tiers.En la question, la dernière sortie médiatique du chef de file de la diplomatie algérienne frise le ridicule puisqu'elle démontre qu'il ne retient rien des leçons de l'histoire de l'humanité. A croire que ce portefeuille ministériel n'a pour réelle fonction que d'être le porte-parole d'un mouvement de mercenaires. Rien de bien nouveau dans cette situation puisque ce département est le perpétuel, sinon l'éternel théâtre de tensions d'intensité variable. La complexité est d'ailleurs sa nature. Il reste indéchiffrable par l'action imparfaite mais tenace de l'imperfection appliquée qui travaille la matière métamorphique de l'action humaine.Comment ? En brouillant le réseau des intentions et des actions entrelacées dont l'interaction a dévié la direction finale. Résultat désespérant pour cette diplomatie algérienne que les contrats gaziers et la chaîne socialiste grinçante ne peuvent plus sauver. Ce vacillement touche au politique et à la façon dont il est pensé. Il exprime un double niveau de crise. Crise de bas en haut et de fond en comble du national à l'international. A tel point que le Sommet ne parvient plus à se constituer en fondement démocratique. Aussi, en la question du Sahara marocain, il se cherche une voie.Le sujet pensant est aujourd'hui décentré et ne parvient plus à se repérer. La communauté internationale en a saisi les signaux et craint pour l'instabilité en matière sécuritaire dans la région du Maghreb, voire au-delà.
Une entité virtuelleLa soi-disant "rasd" est une entité sans peuple, ne possède aucun attribut de souveraineté, et n'a aucune existence territoriale, souligne le Conseil royal consultatif des Affaires sahariennes (Corcas) sur son site Web.La "rasd" n'a pas de peuple, car les seules populations dont elle dispose sont les retenus des camps qu'elle détient et contrôle malgré eux, explique le Conseil, ajoutant que cette entité, installée à Tindouf, en Algérie, n'a d'existence que sur Internet et dans des institutions fictives sur le territoire d'un pays étranger. Par ailleurs, le Corcas relève que les quelques personnes déplacées ces derniers jours pour des "festivités" à Tifariti ont été amenées contre leur gré du camp dit "Mokhayam de Dakhla" à Aâouinet Bel Lagrâa, au sud-est de Tindouf. Le Conseil souligne que ces "festivités", qui nécessitent des fonds considérables, sont dénoncées même par "les retenus de Tindouf supposés s'en réjouir, mais qui n'y voient en réalité qu'une dilapidation pure et simple des aides internationales humanitaires dont ils ont le plus besoin". Le Corcas souligne que l'issue de cette impasse existe et la solution au conflit du Sahara est toute prête, faisant référence à l'autonomie élargie des provinces du sud du Royaume, dans le cadre de la souveraineté nationale, proposée par le Maroc.
Une entité virtuelleLa soi-disant "rasd" est une entité sans peuple, ne possède aucun attribut de souveraineté, et n'a aucune existence territoriale, souligne le Conseil royal consultatif des Affaires sahariennes (Corcas) sur son site Web.La "rasd" n'a pas de peuple, car les seules populations dont elle dispose sont les retenus des camps qu'elle détient et contrôle malgré eux, explique le Conseil, ajoutant que cette entité, installée à Tindouf, en Algérie, n'a d'existence que sur Internet et dans des institutions fictives sur le territoire d'un pays étranger. Par ailleurs, le Corcas relève que les quelques personnes déplacées ces derniers jours pour des "festivités" à Tifariti ont été amenées contre leur gré du camp dit "Mokhayam de Dakhla" à Aâouinet Bel Lagrâa, au sud-est de Tindouf. Le Conseil souligne que ces "festivités", qui nécessitent des fonds considérables, sont dénoncées même par "les retenus de Tindouf supposés s'en réjouir, mais qui n'y voient en réalité qu'une dilapidation pure et simple des aides internationales humanitaires dont ils ont le plus besoin". Le Corcas souligne que l'issue de cette impasse existe et la solution au conflit du Sahara est toute prête, faisant référence à l'autonomie élargie des provinces du sud du Royaume, dans le cadre de la souveraineté nationale, proposée par le Maroc.
(MAP 02/02/2007)
1 comment:
Pourquoi ne pas finir avec ce dossier alors que la solution est trés facile, si le Maroc est sur que le sahara occidental est marocain, la solution est tres simple un petit referendum et c'est fait. Ou est ce qu'on est pas sur du résultat!!!!
N'est ce pas le Maroc qui avait envahi l'Algerie en 1963 tout juste apres son independance pour s'occtroyer une partie de son territoire, seulement les algeriens ont su repondre à cette invasion.
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