Un 3e mandat pour Abdelaziz Bouteflika ?
Actuellement, la Loi fondamentale algérienne limite à 2 le nombre de mandats présidentiels.
A quelques mois de la fin de son 2e mandat, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé la révision partielle de la Constitution par voie parlementaire.
Parmi les amendements proposés : la possibilité pour le Président algérien de briguer un 3e mandat.
A l'origine, aux yeux des intellectuels algériens, l'article 74 de la Loi fondamentale algérienne, qui limite à deux le nombres de mandats présidentiels, était une manière de garantir l'alternance politique.
Le président actuel a été élu une première fois en 1999, une deuxième fois en 2004 et voilà trois ans que ces partisans militent pour la possibilité d'un troisième mandat. Mercredi, M. Bouteflika a justifié sa proposition de révision constitutionnelle par le « droit du peuple d'exercer son droit légitime à choisir ses gouvernants et à leur renouveler sa confiance en toute souveraineté ».
Outre l'amendement sur la possibilité d'un 3e mandat, le texte prévoit aussi « la réorganisation et la clarification » des prérogatives au sein de l'exécutif et « la promotion des droits politiques de la femme »
En 2007, des intellectuels et des universitaires avaient, pour s'opposer à ce projet, lancé une « Initiative pour le respect de la Constitution ».
Mais la scène publique étant occupée par les partis de l'Alliance présidentielle et les organisations satellites du pouvoir, le discours n'a que peu été relayé dans l'opinion publique.
Le projet était donc bien enclenché, seule manquait la confirmation du Président, qui a attendu pour ce faire les derniers mois de son mandat.
La prochaine élection présidentielle a lieu en avril 2009.
Commentaire de " Bruxellois, non peut être ?"
Bouteflika n'est pas seulement grabataire et physiquement diminué, mais il a ceci de commun avec tous les dirigeants arabes: Il s'estime irremplaçable, indispensable et immortel.
Il oublie que les poubelles de l'histoire sont bourrées de petits pères des peupels et de grands timonniers.
Ainsi va le pauvre monde arabe, lui même malade et gouverné par des handicapés tant mentaux que physiques.
Si au moins l'on devait dissoudre tous ces parlements fantoches qui bouffent un argent fou pompé dans les caisses des peuples .
C'est à désespérer !!!
Actuellement, la Loi fondamentale algérienne limite à 2 le nombre de mandats présidentiels.
A quelques mois de la fin de son 2e mandat, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé la révision partielle de la Constitution par voie parlementaire.
Parmi les amendements proposés : la possibilité pour le Président algérien de briguer un 3e mandat.
A l'origine, aux yeux des intellectuels algériens, l'article 74 de la Loi fondamentale algérienne, qui limite à deux le nombres de mandats présidentiels, était une manière de garantir l'alternance politique.
Le président actuel a été élu une première fois en 1999, une deuxième fois en 2004 et voilà trois ans que ces partisans militent pour la possibilité d'un troisième mandat. Mercredi, M. Bouteflika a justifié sa proposition de révision constitutionnelle par le « droit du peuple d'exercer son droit légitime à choisir ses gouvernants et à leur renouveler sa confiance en toute souveraineté ».
Outre l'amendement sur la possibilité d'un 3e mandat, le texte prévoit aussi « la réorganisation et la clarification » des prérogatives au sein de l'exécutif et « la promotion des droits politiques de la femme »
En 2007, des intellectuels et des universitaires avaient, pour s'opposer à ce projet, lancé une « Initiative pour le respect de la Constitution ».
Mais la scène publique étant occupée par les partis de l'Alliance présidentielle et les organisations satellites du pouvoir, le discours n'a que peu été relayé dans l'opinion publique.
Le projet était donc bien enclenché, seule manquait la confirmation du Président, qui a attendu pour ce faire les derniers mois de son mandat.
La prochaine élection présidentielle a lieu en avril 2009.
Commentaire de " Bruxellois, non peut être ?"
Bouteflika n'est pas seulement grabataire et physiquement diminué, mais il a ceci de commun avec tous les dirigeants arabes: Il s'estime irremplaçable, indispensable et immortel.
Il oublie que les poubelles de l'histoire sont bourrées de petits pères des peupels et de grands timonniers.
Ainsi va le pauvre monde arabe, lui même malade et gouverné par des handicapés tant mentaux que physiques.
Si au moins l'on devait dissoudre tous ces parlements fantoches qui bouffent un argent fou pompé dans les caisses des peuples .
C'est à désespérer !!!
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