Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a affirmé que la proposition marocaine d'autonomie au Sahara "mérite d'être discutée sérieusement", estimant que l'option du référendum "n'a pas marché jusqu'ici".
Dans une interview publiée dans la dernière livraison de l'hebdomadaire international "Jeune Afrique", M. Kouchner a tenu à rappeler que la France, comme d'ailleurs le Conseil de sécurité, juge "intéressante" la proposition marocaine qui "mérite d'être discutée sérieusement".
La France, a-t-il dit, souhaite que la médiation menée par les Nations unies aille à son terme et qu'il y ait "enfin un accord entre le Maroc et l'Algérie" dans le but de mettre fin à ce dossier qui "empoisonne leurs relations".
A l'occasion de la visite à Paris, en février dernier, de l'Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies pour le Sahara, Christopher Ross, le Quai d'Orsay avait réitéré que le plan d'autonomie est "une base de négociation pour aboutir à une solution négociée raisonnable entre les parties dans le cadre des Nations unies", rappelle-t-on.
En adoptant la résolution 1813, en avril 2008, "le Conseil de sécurité a appelé les parties au réalisme et à l'esprit de compromis afin de permettre aux négociations d'entrer dans une phase intensive et substantielle", avait rappelé le ministère français des Affaires étrangères.
Dans une interview publiée dans la dernière livraison de l'hebdomadaire international "Jeune Afrique", M. Kouchner a tenu à rappeler que la France, comme d'ailleurs le Conseil de sécurité, juge "intéressante" la proposition marocaine qui "mérite d'être discutée sérieusement".
La France, a-t-il dit, souhaite que la médiation menée par les Nations unies aille à son terme et qu'il y ait "enfin un accord entre le Maroc et l'Algérie" dans le but de mettre fin à ce dossier qui "empoisonne leurs relations".
A l'occasion de la visite à Paris, en février dernier, de l'Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies pour le Sahara, Christopher Ross, le Quai d'Orsay avait réitéré que le plan d'autonomie est "une base de négociation pour aboutir à une solution négociée raisonnable entre les parties dans le cadre des Nations unies", rappelle-t-on.
En adoptant la résolution 1813, en avril 2008, "le Conseil de sécurité a appelé les parties au réalisme et à l'esprit de compromis afin de permettre aux négociations d'entrer dans une phase intensive et substantielle", avait rappelé le ministère français des Affaires étrangères.
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