Une femme sahraouie a dénoncé les pratiques courantes de viols forcés et les abus sur des jeunes filles par les dirigeants du "polisario" dans les camps de Tindouf (sud-ouest algérien), et appelé les organisations internationales de défense des droits humains à ouvrir des enquêtes sur ces pratiques.
Agouha Sid Ahmed, 35 ans, qui a vécu durant plusieurs années dans ces camps de la honte avec sa mère, a regagné vendredi la Mère Patrie, le Maroc, depuis les Iles Canaries, en réponse à l'Appel Royal "La patrie est clémente et miséricordieuse".
Dans une déclaration à Map-Las Palmas, Agouha a fait état de l'absence totale de libertés de circulation et d'opinion dans les camps de Tindouf, où les droits les plus élémentaires de vie sont totalement bafoués.
Les jeunes filles sont exploitées dans des résidences réservées aux dirigeants du +polisario+, a déclaré cette femme, dont un oncle était "ministre de la coopération" et "ambassadeur en Italie" dans la pseudo "rasd".
Après avoir rappelé que son mari avait regagné en 1995 le Maroc, Agouha a indiqué que la majorité des sahraouis séquestrés veulent regagner le Royaume dès que l'occasion se présente à eux.
"La vie est devenue insoutenable dans les camps", a-t-elle dit, révélant que les aides humanitaires internationales octroyées par des pays et sur lesquelles comptaient les populations sont détournées par le "polisario" et leurs recettes sont placées dans les comptes bancaires ouverts par les dirigeants de ce mouvement en Algérie et dans des pays européens.
"Les produits alimentaires et les médicaments n'arrivent jamais aux mains des véritables bénéficiaires, surtout des vieilles femmes et des enfants, mais sont vendus sur des marchés en Mauritanie et en Algérie", a raconté cette femme, qui était membre durant plusieurs années de la "troupe Al Ouali" de danse, qu'utilisait le "polisario", à l'instar du groupe "Mariam Hassan", dans sa campagne de propagande dans des pays européens.
Agouha, issue de la tribu "Zerguiyine" a souligné que les conditions de vie dans les camps sont insupportables, en raison notamment du non respect de la dignité humaine et de l'absence de perspectives d'avenir pour les nouvelles générations.
Elle a dénoncé le fait que plusieurs membres de sa famille aient été arrêtés et sauvagement torturés par des éléments du "polisario", suite aux violentes manifestations qui ont eu lieu en 1988 dans les camps de la honte contre le "polisario". LAS PALMAS 02.02.2009 MAP
Agouha Sid Ahmed, 35 ans, qui a vécu durant plusieurs années dans ces camps de la honte avec sa mère, a regagné vendredi la Mère Patrie, le Maroc, depuis les Iles Canaries, en réponse à l'Appel Royal "La patrie est clémente et miséricordieuse".
Dans une déclaration à Map-Las Palmas, Agouha a fait état de l'absence totale de libertés de circulation et d'opinion dans les camps de Tindouf, où les droits les plus élémentaires de vie sont totalement bafoués.
Les jeunes filles sont exploitées dans des résidences réservées aux dirigeants du +polisario+, a déclaré cette femme, dont un oncle était "ministre de la coopération" et "ambassadeur en Italie" dans la pseudo "rasd".
Après avoir rappelé que son mari avait regagné en 1995 le Maroc, Agouha a indiqué que la majorité des sahraouis séquestrés veulent regagner le Royaume dès que l'occasion se présente à eux.
"La vie est devenue insoutenable dans les camps", a-t-elle dit, révélant que les aides humanitaires internationales octroyées par des pays et sur lesquelles comptaient les populations sont détournées par le "polisario" et leurs recettes sont placées dans les comptes bancaires ouverts par les dirigeants de ce mouvement en Algérie et dans des pays européens.
"Les produits alimentaires et les médicaments n'arrivent jamais aux mains des véritables bénéficiaires, surtout des vieilles femmes et des enfants, mais sont vendus sur des marchés en Mauritanie et en Algérie", a raconté cette femme, qui était membre durant plusieurs années de la "troupe Al Ouali" de danse, qu'utilisait le "polisario", à l'instar du groupe "Mariam Hassan", dans sa campagne de propagande dans des pays européens.
Agouha, issue de la tribu "Zerguiyine" a souligné que les conditions de vie dans les camps sont insupportables, en raison notamment du non respect de la dignité humaine et de l'absence de perspectives d'avenir pour les nouvelles générations.
Elle a dénoncé le fait que plusieurs membres de sa famille aient été arrêtés et sauvagement torturés par des éléments du "polisario", suite aux violentes manifestations qui ont eu lieu en 1988 dans les camps de la honte contre le "polisario". LAS PALMAS 02.02.2009 MAP
No comments:
Post a Comment