Le président de l'Association des portés disparus au "polisario" (APDP), M. Dahi Akai, a affirmé, lundi à Rabat, que l'association n'a pas réussi à connaître le nombre réel des disparus et des séquestrés chez le "polisario" en raison du black-out total imposé par les séparatistes dans les camps de Tindouf, au sud de l'Algérie.
Au cours d'une conférence de presse consacrée aux violations perpétrées par le "polisario" et aux derniers développements du dossier des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf, M. Akai a souligné que le nombre des portés disparus se compte par des centaines, ajoutant que l'association effectue d'intenses contacts avec les familles et les tribus sahraouies pour déterminer le nombre réel des victimes.
Malgré le black-out, l'organisation Amnesty International a réussi à réaliser des rapports dévoilant les pratiques perpétrées par le "polisario" à l'encontre des Sahraouis (enlèvements, torture et assassinats), a poursuivi M.Akai, notant que ces rapports réclament la libération des détenus, l'arrêt des violations et la présentation des dirigeants du "polisario" à la justice internationale.
D'autre part, le président de l'APDP a affirmé sa totale adhésion à la proposition marocaine relative à l'octroi d'une autonomie élargie aux provinces du sud du Royaume.
Il a par ailleurs affirmé qu'à travers cette rencontre, son association souhaite lancer un appel à l'ensemble des défenseurs des droits de l'Homme dans le monde pour libérer les séquestrés et mettre un terme à leurs souffrances, faisant remarquer que l'association intervient auprès de plusieurs organisations internationales et onusiennes pour dévoiler ces pratiques.
Et de souligner que selon des informations sûres, le "polisario" procède systématiquement à la délocalisation des prisons dans les camps de Tindouf dès que les organisations internationales prennent connaissance de leur emplacement initial.
M. Akai a ajouté que le polisario poursuit la politique des enlèvements et des assassinats dont sont la cible des personnes innocentes, rappelant que les mercenaires du "polisario" détournent l'aide humanitaire envoyée par les organisations internationales au profit des séquestrés pour l'écouler ensuite en Mauritanie, en Algérie et au Mali.
(Rabat, 13/02/07 -MAP)
Au cours d'une conférence de presse consacrée aux violations perpétrées par le "polisario" et aux derniers développements du dossier des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf, M. Akai a souligné que le nombre des portés disparus se compte par des centaines, ajoutant que l'association effectue d'intenses contacts avec les familles et les tribus sahraouies pour déterminer le nombre réel des victimes.
Malgré le black-out, l'organisation Amnesty International a réussi à réaliser des rapports dévoilant les pratiques perpétrées par le "polisario" à l'encontre des Sahraouis (enlèvements, torture et assassinats), a poursuivi M.Akai, notant que ces rapports réclament la libération des détenus, l'arrêt des violations et la présentation des dirigeants du "polisario" à la justice internationale.
D'autre part, le président de l'APDP a affirmé sa totale adhésion à la proposition marocaine relative à l'octroi d'une autonomie élargie aux provinces du sud du Royaume.
Il a par ailleurs affirmé qu'à travers cette rencontre, son association souhaite lancer un appel à l'ensemble des défenseurs des droits de l'Homme dans le monde pour libérer les séquestrés et mettre un terme à leurs souffrances, faisant remarquer que l'association intervient auprès de plusieurs organisations internationales et onusiennes pour dévoiler ces pratiques.
Et de souligner que selon des informations sûres, le "polisario" procède systématiquement à la délocalisation des prisons dans les camps de Tindouf dès que les organisations internationales prennent connaissance de leur emplacement initial.
M. Akai a ajouté que le polisario poursuit la politique des enlèvements et des assassinats dont sont la cible des personnes innocentes, rappelant que les mercenaires du "polisario" détournent l'aide humanitaire envoyée par les organisations internationales au profit des séquestrés pour l'écouler ensuite en Mauritanie, en Algérie et au Mali.
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