COMMUNIQUE DE PRESSE/ Paris le 04 mars 2011
Liberté pour les enfants séquestrés à Tindouf ou déportés à Cuba
Dans ces moments difficiles où des peuples longtemps tenus sous le joug de dictatures implacables peu soucieuses de leurs droits et de leur dignité humaine luttent pour leurs libertés, il est de notre devoir de les soutenir et de les réconforter. Il est aussi de notre devoir, en tant que citoyens de pays se revendiquant de la justice et de la liberté de ne pas oublier ceux qui souffrent de violences (viol, séquestration, arrestations…) et de privations dans d’autres endroits du monde moins exposés aux regards des caméras occidentales.
Le CAI-Almohagir, tient, par conséquent, à attirer l'attention des participants à cette conférence sur le « droit international humanitaire et justice internationale », et au-delà, de l’opinion publique internationale, sur l’un de ces drames humains qui a pour théâtre les camps de Tindouf installés dans le Sud-ouest algérien.
Des milliers de familles sont retenues dans de ces camps de la « honte » en dehors toute légalité, privées du droit de circuler, de communiquer et de choisir.
Dans ces mêmes camps qui échappent au contrôle des organisations internationales empêchées d’y pénétrer et d’y assurer leur mission, les enfants sont privés de droits humains fondamentaux et essentiels pour leur épanouissement tels les soins, l’éducation et le droit à une enfance et une vie familiale ordinaire. Pire, plusieurs milliers d’entre eux sont envoyés depuis la fin des années soixante dix à Cuba sous couvert de programmes d’éducation et de formation, mais qui sont, en réalité, placés d’office dans des établissements particuliers à caractère militaire et politique (endoctrinement idéologique), et employés dans les fabriques de cigares, les champs de tabac et de canne à sucre, voire, dans des maisons closes. De nombreux rapports ont décrit avec détail et preuves à l’appui cette situation et appelé à des mesures urgentes et conséquentes pour mettre fin au calvaire de ces enfants.
Le CAI-Almohagir dénonce le silence qui entoure ce dossier humanitaire et lance un appel aux ONG et personnalités participant à cette conférence afin qu’une mobilisation générale et une dénonciation ferme soient inscrites dans les actes finaux de cette conférence.
La présence d’un dirigeant du « Front Polisario », Mr Omar Mansour, à cette
conférence choque et interpelle de nombreux participants. En effet, c’est cette organisation qui orchestre les atteintes aux droits humains dans les camps de Tindouf et qui se trouve au centre des trafiques (aide humanitaire, armes, séquestration) qui sévissent dans la région. Elle est aujourd’hui même accusée de participer aux combats menés par les mercenaires de Kadhafi contre le peuple libyen.
Le CAI-Almohagir, rassemble + de 60 ONG présentes dans 10 pays
Pour le Collectif : Dr Mohammed MRAIZIKA (m.mraizika@laposte.net)
Liberté pour les enfants séquestrés à Tindouf ou déportés à Cuba
Dans ces moments difficiles où des peuples longtemps tenus sous le joug de dictatures implacables peu soucieuses de leurs droits et de leur dignité humaine luttent pour leurs libertés, il est de notre devoir de les soutenir et de les réconforter. Il est aussi de notre devoir, en tant que citoyens de pays se revendiquant de la justice et de la liberté de ne pas oublier ceux qui souffrent de violences (viol, séquestration, arrestations…) et de privations dans d’autres endroits du monde moins exposés aux regards des caméras occidentales.
Le CAI-Almohagir, tient, par conséquent, à attirer l'attention des participants à cette conférence sur le « droit international humanitaire et justice internationale », et au-delà, de l’opinion publique internationale, sur l’un de ces drames humains qui a pour théâtre les camps de Tindouf installés dans le Sud-ouest algérien.
Des milliers de familles sont retenues dans de ces camps de la « honte » en dehors toute légalité, privées du droit de circuler, de communiquer et de choisir.
Dans ces mêmes camps qui échappent au contrôle des organisations internationales empêchées d’y pénétrer et d’y assurer leur mission, les enfants sont privés de droits humains fondamentaux et essentiels pour leur épanouissement tels les soins, l’éducation et le droit à une enfance et une vie familiale ordinaire. Pire, plusieurs milliers d’entre eux sont envoyés depuis la fin des années soixante dix à Cuba sous couvert de programmes d’éducation et de formation, mais qui sont, en réalité, placés d’office dans des établissements particuliers à caractère militaire et politique (endoctrinement idéologique), et employés dans les fabriques de cigares, les champs de tabac et de canne à sucre, voire, dans des maisons closes. De nombreux rapports ont décrit avec détail et preuves à l’appui cette situation et appelé à des mesures urgentes et conséquentes pour mettre fin au calvaire de ces enfants.
Le CAI-Almohagir dénonce le silence qui entoure ce dossier humanitaire et lance un appel aux ONG et personnalités participant à cette conférence afin qu’une mobilisation générale et une dénonciation ferme soient inscrites dans les actes finaux de cette conférence.
La présence d’un dirigeant du « Front Polisario », Mr Omar Mansour, à cette
conférence choque et interpelle de nombreux participants. En effet, c’est cette organisation qui orchestre les atteintes aux droits humains dans les camps de Tindouf et qui se trouve au centre des trafiques (aide humanitaire, armes, séquestration) qui sévissent dans la région. Elle est aujourd’hui même accusée de participer aux combats menés par les mercenaires de Kadhafi contre le peuple libyen.
Le CAI-Almohagir, rassemble + de 60 ONG présentes dans 10 pays
Pour le Collectif : Dr Mohammed MRAIZIKA (m.mraizika@laposte.net)
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