La justice française s'apprête à rouvrir le livre noir de l'Algérie. Le juge antiterroriste Marc Trévidic, en charge de l'enquête sur l'assassinat des moines de Tibéhirine, vient de demander au gouvernement français la levée du secret-défense sur tous les documents susceptibles d'accréditer la thèse selon laquelle Djamel Zitouni (photo), l'ancien chef du Groupe islamique armé (GIA), à qui a été imputé l'assassinat des sept religieux français mais aussi la vague d'attentats commis en France en 1995, était en réalité un agent des services secrets algériens. « Ma fonction m'impose de ne négliger aucune piste sérieuse ni de privilégier une thèse sur une autre », écrit le juge dans ses requêtes que dévoile MEDIAPART.FR 07-09-2009
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