Mme Gajmoula Ebbi, député, membre de l'Union de l'Action Féminine (UAF), a exprimé jeudi devant le Conseil des Droits de l'Homme (CDH) à Genève, la préoccupation de l'UAF de la situation de précarité et de vulnérabilité extrêmes qu'endurent les femmes et les enfants dans les camps de Tindouf.
S'exprimant dans le cadre du débat général consacré au suivi et à l'application de la Déclaration et du Programme d'action de Vienne, Mme Ebbi a indiqué que son organisation a entamé un travail en profondeur avec les autres associations de la société civile pour consolider davantage l'application des dispositions de ladite Déclaration. Le but est de consolider les fondements d'une société juste, garante des droits de tous les membres de la société, a-t-elle affirmé, soulignant que la question de l'égalité des sexes est une question prioritaire.
La Conférence de Vienne, tenue en 1993, a réaffirmé l'engagement solennel pris par tous les Etats de s'acquitter de leur obligation de promouvoir le respect de l'ensemble des droits de l'Homme et des libertés fondamentales, conformément à la Charte des Nations Unies et aux autres instruments du droit international.
Dans son intervention, M. Sidati Ghallaoui, a, au nom de l'ONG "Interfaith International", mis en exergue les progrès réalisés au Maroc en matière des droits de l'Homme, l'un des rares pays qui a eu "le courage politique de reconnaître les erreurs passées et de mettre en place un éventail de mesures destinées à consolider la démocratie et à promouvoir l'Etat de droit", a-t-il souligné.
Il a rappelé, à cet égard, la mise en place de l'Instance Equité et Réconciliation (IER), qui a accordé des réparations financières et morales aux victimes des violations passées des droits de l'Homme. D'autres mesures juridiques ont été prises dans le domaine de la famille dans le cadre du code de la famille notamment, ce qui témoigne de la volonté du Maroc d'aller de l'avant dans la mise en oeuvre du programme d'action de la Déclaration de Vienne, a-t-il dit.
Genève 27/09/07 -MAP
S'exprimant dans le cadre du débat général consacré au suivi et à l'application de la Déclaration et du Programme d'action de Vienne, Mme Ebbi a indiqué que son organisation a entamé un travail en profondeur avec les autres associations de la société civile pour consolider davantage l'application des dispositions de ladite Déclaration. Le but est de consolider les fondements d'une société juste, garante des droits de tous les membres de la société, a-t-elle affirmé, soulignant que la question de l'égalité des sexes est une question prioritaire.
La Conférence de Vienne, tenue en 1993, a réaffirmé l'engagement solennel pris par tous les Etats de s'acquitter de leur obligation de promouvoir le respect de l'ensemble des droits de l'Homme et des libertés fondamentales, conformément à la Charte des Nations Unies et aux autres instruments du droit international.
Dans son intervention, M. Sidati Ghallaoui, a, au nom de l'ONG "Interfaith International", mis en exergue les progrès réalisés au Maroc en matière des droits de l'Homme, l'un des rares pays qui a eu "le courage politique de reconnaître les erreurs passées et de mettre en place un éventail de mesures destinées à consolider la démocratie et à promouvoir l'Etat de droit", a-t-il souligné.
Il a rappelé, à cet égard, la mise en place de l'Instance Equité et Réconciliation (IER), qui a accordé des réparations financières et morales aux victimes des violations passées des droits de l'Homme. D'autres mesures juridiques ont été prises dans le domaine de la famille dans le cadre du code de la famille notamment, ce qui témoigne de la volonté du Maroc d'aller de l'avant dans la mise en oeuvre du programme d'action de la Déclaration de Vienne, a-t-il dit.
Genève 27/09/07 -MAP
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