L'écrivain algérien Yahya Abou Zakaria a fait endosser à l'Algérie la responsabilité de la crise au Sahara, dans un articule publié lundi par le journal libanais +Al-Liwae+.
Sous le titre "Le Maroc, l'Algérie, le front +Polisario+ et l'agenda international", l'auteur écrit que "parler du front +polisario+ c'est parler de l'Algérie" et par là même, évoquer plus d'un quart de siècle de relations maroco-algériennes complexes.
Si "le +polisario+ était libre de ses mouvements et agissait conformément à son agenda international, sa crise avec Rabat aurait pu être résolue très facilement".
Depuis le début de la crise au Sahara et les premières réflexions sur l'émiettement de la géographie maghrébine avec le projet de création d'une nouvelle entité politique entre l'Algérie et le Maroc, les relations entre les deux pays sont restées sous l'emprise de cette crise exagérément amplifiée, relève l'écrivain Yahya Abou Zakaria.
Evoquant la position de certains journaux algériens, l'auteur de l'article déplore le fait que ces publications publient des informations fournies par les services secrets, précisément ceux en charge des dossiers des relations maroco-algériennes et du Sahara", ajoutant que "certains de ces services dictent à ces journaux une ligne éditoriale hostile au Maroc".
"Il est évident qu'une partie en Algérie s'emploie à attiser la tension marquant les relations maroco-algériennes pour différentes raisons, dont la prédominance du militaire sur le politique", écrit l'auteur, notant que "cette cinquième colonne coordonne avec des milieux extérieurs, car une confrontation militaire entre l'Algérie et le Maroc ouvrirait grandement la porte à une présence américaine sur la scène maghrébine".
Sous le titre "Le Maroc, l'Algérie, le front +Polisario+ et l'agenda international", l'auteur écrit que "parler du front +polisario+ c'est parler de l'Algérie" et par là même, évoquer plus d'un quart de siècle de relations maroco-algériennes complexes.
Si "le +polisario+ était libre de ses mouvements et agissait conformément à son agenda international, sa crise avec Rabat aurait pu être résolue très facilement".
Depuis le début de la crise au Sahara et les premières réflexions sur l'émiettement de la géographie maghrébine avec le projet de création d'une nouvelle entité politique entre l'Algérie et le Maroc, les relations entre les deux pays sont restées sous l'emprise de cette crise exagérément amplifiée, relève l'écrivain Yahya Abou Zakaria.
Evoquant la position de certains journaux algériens, l'auteur de l'article déplore le fait que ces publications publient des informations fournies par les services secrets, précisément ceux en charge des dossiers des relations maroco-algériennes et du Sahara", ajoutant que "certains de ces services dictent à ces journaux une ligne éditoriale hostile au Maroc".
"Il est évident qu'une partie en Algérie s'emploie à attiser la tension marquant les relations maroco-algériennes pour différentes raisons, dont la prédominance du militaire sur le politique", écrit l'auteur, notant que "cette cinquième colonne coordonne avec des milieux extérieurs, car une confrontation militaire entre l'Algérie et le Maroc ouvrirait grandement la porte à une présence américaine sur la scène maghrébine".
Beyrouth, 20/08/07 MAP
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