La plainte pour "génocide" contre des responsables du "polisario", examinée actuellement par l'Audience nationale espagnole, "remplit toutes les conditions requises pour être prise en considération par la justice espagnole", a indiqué José Manuel Romero Gonzalez, l'avocat chargé de ce dossier lors d'une rencontre, lundi à Madrid, avec la presse.
La plainte contre le "polisario" a été déposée le 14 décembre 2007 par L'Association sahraouie de défense des droits de l'homme (ASADEDH), Houcine Bida, président de l'association Pasverte et Dahi Aguai, président de l'Association des portés disparus du polisario, deux des victimes des violations des droits de l'homme perpétrées par le "polisario".
Dans le cas de la plainte pour "génocide" déposée contre le "polisario", la majorité des victimes et des personnes portées disparues "détenaient la nationalité espagnole" au moment où elles ont été la cible de violations graves des droits de l'homme dans les geôles du "polisario", a-t-il expliqué, ajoutant que certains responsables de ces actes "ont séjourné pour une période déterminée en Espagne ou se trouvent actuellement sur le territoire espagnol".
"La seule question qui reste à vérifier est de savoir si les faits recueillis dans la plainte ont fait ou pas l'objet d'une enquête ou d'un procès en Algérie", a relevé l'avocat espagnol, notant qu'il s'agit justement de "l'objectif de la commission rogatoire délivrée par l'Audience nationale auprès des autorités judiciaires de ce pays".
Cette plainte contre le "polisario" a été appuyée par des dossiers médicaux rédigés par des experts internationaux, qui ont constaté l'état physique et psychique des victimes, dont 76 cas uniquement à Laâyoune.
Après le dépôt de cette plainte, le "polisario" avait rappelé d'urgence ses représentants à Madrid et à Las Palmas, Brahim Ghali et Luchaa Obeid, par crainte de les voir arrêtés par les autorités judiciaires espagnoles.
MADRID 29-06-2009 MAP
La plainte contre le "polisario" a été déposée le 14 décembre 2007 par L'Association sahraouie de défense des droits de l'homme (ASADEDH), Houcine Bida, président de l'association Pasverte et Dahi Aguai, président de l'Association des portés disparus du polisario, deux des victimes des violations des droits de l'homme perpétrées par le "polisario".
Dans le cas de la plainte pour "génocide" déposée contre le "polisario", la majorité des victimes et des personnes portées disparues "détenaient la nationalité espagnole" au moment où elles ont été la cible de violations graves des droits de l'homme dans les geôles du "polisario", a-t-il expliqué, ajoutant que certains responsables de ces actes "ont séjourné pour une période déterminée en Espagne ou se trouvent actuellement sur le territoire espagnol".
"La seule question qui reste à vérifier est de savoir si les faits recueillis dans la plainte ont fait ou pas l'objet d'une enquête ou d'un procès en Algérie", a relevé l'avocat espagnol, notant qu'il s'agit justement de "l'objectif de la commission rogatoire délivrée par l'Audience nationale auprès des autorités judiciaires de ce pays".
Cette plainte contre le "polisario" a été appuyée par des dossiers médicaux rédigés par des experts internationaux, qui ont constaté l'état physique et psychique des victimes, dont 76 cas uniquement à Laâyoune.
Après le dépôt de cette plainte, le "polisario" avait rappelé d'urgence ses représentants à Madrid et à Las Palmas, Brahim Ghali et Luchaa Obeid, par crainte de les voir arrêtés par les autorités judiciaires espagnoles.
MADRID 29-06-2009 MAP
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