Le Royaume du Maroc a décidé jeudi la fermeture de son ambassade au Venezuela et son transfert en République dominicaine, en réaction à l'hostilité ouvertement affichée par ce pays à l'égard de l'intégrité territoriale du Maroc, compromettant tout effort de développement de la coopération bilatérale.
Les autorités vénézuéliennes ont, en effet, multiplié les actes d’hostilité envers le Maroc et son unité nationale, malgré toutes les tentatives visant à les amener à adopter une position neutre et équilibrée sur le dossier du Sahara, qui cadre avec les derniers développements de ce dossier au niveau du Conseil de sécurité.
L’ouverture et la présence d’une représentation dans un pays reflète la volonté de renforcer les relations avec ce pays dans différents domaines, mais cette présence devient inutile quand des considérations majeures entravent le développement de ces relations.
Le cas du maintien de l’ambassade du Maroc au Venezuela s’inscrit dans ce cadre précis.
Allant à contre-courant des grandes évolutions de ce dossier, au niveau diplomatique international, les autorités vénézuéliennes ont fait preuve d’un alignement inacceptable sur les thèses caduques de l’Algérie et de leur créature dans tous les forums multilatéraux et régionaux.
La république bolivarienne n’a pas cessé d’afficher ouvertement leur hostilité au Maroc, joignant la parole aux actes, au plus haut niveau de l’Etat, portant ainsi un grave préjudice aux relations de bonne entente entre les deux pays.
Les autorités de Caracas ont ainsi multiplié les déclarations inamicales envers le Maroc, participant activement aux campagnes belliqueuses des adversaires de l’unité nationale du royaume et compromettant, dans cette escalade absurde, les plus hautes sphères vénézuéliennes.
Caracas a pris, en effet, fait et cause pour les thèses séparatistes, sous l’influence de l’Algérie, sans même prendre la peine d’écouter le Maroc, dont les efforts louables, déployés ces derniers mois, ont été soulignés par la communauté internationale.
Malgré toutes les tentatives marocaines pour amener Caracas à adopter une position neutre et équilibrée au sujet de la question de l’intégrité territoriale du royaume, le gouvernement vénézuélien a poursuivi, de manière systématique et croissante, son engagement dans des positions ouvertement hostiles aux intérêts supérieurs du Royaume, en s’obstinant à s’inscrire en porte-à-faux par rapport aux derniers développements du dossier du Sahara sur la scène internationale.
Cette hostilité croissante a eu un impact négatif sur l’ensemble des volets de la coopération entre les deux pays et il était normal que le Maroc soit amené à redéployer son ambassade vers un autre pays où le contexte est plus favorable au développement des relations bilatérales.
Les autorités vénézuéliennes ont, en effet, multiplié les actes d’hostilité envers le Maroc et son unité nationale, malgré toutes les tentatives visant à les amener à adopter une position neutre et équilibrée sur le dossier du Sahara, qui cadre avec les derniers développements de ce dossier au niveau du Conseil de sécurité.
L’ouverture et la présence d’une représentation dans un pays reflète la volonté de renforcer les relations avec ce pays dans différents domaines, mais cette présence devient inutile quand des considérations majeures entravent le développement de ces relations.
Le cas du maintien de l’ambassade du Maroc au Venezuela s’inscrit dans ce cadre précis.
Allant à contre-courant des grandes évolutions de ce dossier, au niveau diplomatique international, les autorités vénézuéliennes ont fait preuve d’un alignement inacceptable sur les thèses caduques de l’Algérie et de leur créature dans tous les forums multilatéraux et régionaux.
La république bolivarienne n’a pas cessé d’afficher ouvertement leur hostilité au Maroc, joignant la parole aux actes, au plus haut niveau de l’Etat, portant ainsi un grave préjudice aux relations de bonne entente entre les deux pays.
Les autorités de Caracas ont ainsi multiplié les déclarations inamicales envers le Maroc, participant activement aux campagnes belliqueuses des adversaires de l’unité nationale du royaume et compromettant, dans cette escalade absurde, les plus hautes sphères vénézuéliennes.
Caracas a pris, en effet, fait et cause pour les thèses séparatistes, sous l’influence de l’Algérie, sans même prendre la peine d’écouter le Maroc, dont les efforts louables, déployés ces derniers mois, ont été soulignés par la communauté internationale.
Malgré toutes les tentatives marocaines pour amener Caracas à adopter une position neutre et équilibrée au sujet de la question de l’intégrité territoriale du royaume, le gouvernement vénézuélien a poursuivi, de manière systématique et croissante, son engagement dans des positions ouvertement hostiles aux intérêts supérieurs du Royaume, en s’obstinant à s’inscrire en porte-à-faux par rapport aux derniers développements du dossier du Sahara sur la scène internationale.
Cette hostilité croissante a eu un impact négatif sur l’ensemble des volets de la coopération entre les deux pays et il était normal que le Maroc soit amené à redéployer son ambassade vers un autre pays où le contexte est plus favorable au développement des relations bilatérales.
Rabat, 16 /01/09- MAP
No comments:
Post a Comment