L'Algérie qui prétend aujourd'hui défendre les droits de l'Homme omet ce qu'elle avait fait subir à 45.000 familles marocaines victimes d'expulsion arbitraire de son territoire en 1975, a souligné M. Miloud Chaouch, président de l'Association des marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie (AMVEAA).
"A travers cette expulsion arbitraire, l'Algérie avait a fait fi des valeurs, principes et coutumes des droits de l'Homme tels qu'universellement reconnus, d'autant plus que cette agression coïncidait avec la célébration des journées internationales des droits de l'Homme et du migrant", a ajouté M. Chaouch, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse organisée, samedi à Rabat, à l'initiative de AMVEAA, en partenariat avec le ministère chargé des Marocains résidant à l'Etranger sous le thème: "Rendre justice aux Marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie en 1975, responsabilité de tous".
Il a également indiqué que cette rencontre s'assigne pour objectif de faire renaître la mémoire collective de ce triste souvenir.
L'AMVEAA souligne ainsi la nécessité de faire de la réhabilitation des victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie et la récupération de leurs biens une cause nationale et une responsabilité de tous.
Elle vise également, à travers l'organisation de cette conférence, à créer un
comité technique chargé d'évaluer les préjudices matériels et moraux subis afin de porter plainte contre l'Etat algérien devant la justice algérienne et internationale.
L'AMVEAA a pu s'ouvrir sur les organisations internationales à travers sa participation aux 14-ème et 15-ème sessions des droits de l'Homme de l'ONU lors desquelles elle a porté à la connaissance des participants les éléments juridique et humanitaire de cette affaire et a organisé un sit-in à Genève, a-t-il rappelé.
L'association a par ailleurs, exprimé sa condamnation des "positions immorales et fallacieuses des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume", notamment par des tribunes médiatiques algériennes profitant de chaque occasion pour tenter de ternir chaque l'image du Maroc, sans oublier les manoeuvres du parti populaire espagnol (PP) qui a affiche publiquement son hostilité envers le Maroc.
Elle a, à cet égard, dénoncé la motion non contraignante du parlement européen concernant les derniers événements de Laâyoune, appelant à plus de mobilisation de la société civile marocaine pour défendre les causes sacrées de la nation et faire face aux complots fomentés par les ennemis du Maroc.
Le programme de cette conférence internationale qui coïncide avec la célébration de la journée internationale des droits de l'Homme et le 35-ème anniversaire d'expulsion arbitraire collective des Marocains d'Algérie en 1975,
comprenait la projection d'un documentaire évoquant l'histoire de cette agression, témoignages à l'appui.
Figuraient également au menu de cette rencontre, des interventions de plusieurs experts internationaux ayant trait notamment à l'adaptation juridique
de l'expulsion arbitraire des Marocains d'Algérie en 1975 et aux mécanismes de la poursuite judiciaire à l'encontre de l'Etat algérien.
RABAT MAP 18-12-2010
"A travers cette expulsion arbitraire, l'Algérie avait a fait fi des valeurs, principes et coutumes des droits de l'Homme tels qu'universellement reconnus, d'autant plus que cette agression coïncidait avec la célébration des journées internationales des droits de l'Homme et du migrant", a ajouté M. Chaouch, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse organisée, samedi à Rabat, à l'initiative de AMVEAA, en partenariat avec le ministère chargé des Marocains résidant à l'Etranger sous le thème: "Rendre justice aux Marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie en 1975, responsabilité de tous".
Il a également indiqué que cette rencontre s'assigne pour objectif de faire renaître la mémoire collective de ce triste souvenir.
L'AMVEAA souligne ainsi la nécessité de faire de la réhabilitation des victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie et la récupération de leurs biens une cause nationale et une responsabilité de tous.
Elle vise également, à travers l'organisation de cette conférence, à créer un
comité technique chargé d'évaluer les préjudices matériels et moraux subis afin de porter plainte contre l'Etat algérien devant la justice algérienne et internationale.
L'AMVEAA a pu s'ouvrir sur les organisations internationales à travers sa participation aux 14-ème et 15-ème sessions des droits de l'Homme de l'ONU lors desquelles elle a porté à la connaissance des participants les éléments juridique et humanitaire de cette affaire et a organisé un sit-in à Genève, a-t-il rappelé.
L'association a par ailleurs, exprimé sa condamnation des "positions immorales et fallacieuses des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume", notamment par des tribunes médiatiques algériennes profitant de chaque occasion pour tenter de ternir chaque l'image du Maroc, sans oublier les manoeuvres du parti populaire espagnol (PP) qui a affiche publiquement son hostilité envers le Maroc.
Elle a, à cet égard, dénoncé la motion non contraignante du parlement européen concernant les derniers événements de Laâyoune, appelant à plus de mobilisation de la société civile marocaine pour défendre les causes sacrées de la nation et faire face aux complots fomentés par les ennemis du Maroc.
Le programme de cette conférence internationale qui coïncide avec la célébration de la journée internationale des droits de l'Homme et le 35-ème anniversaire d'expulsion arbitraire collective des Marocains d'Algérie en 1975,
comprenait la projection d'un documentaire évoquant l'histoire de cette agression, témoignages à l'appui.
Figuraient également au menu de cette rencontre, des interventions de plusieurs experts internationaux ayant trait notamment à l'adaptation juridique
de l'expulsion arbitraire des Marocains d'Algérie en 1975 et aux mécanismes de la poursuite judiciaire à l'encontre de l'Etat algérien.
RABAT MAP 18-12-2010
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