La première alerte a retenti à Tindouf le 9 mai déjà. Ce jour-là, Saâd Eddine El Othmani le ministre marocain des affaires étrangères, s’était rendu à Paris où il a rencontré les principaux collaborateurs du président nouvellement élu, François Hollande.
En tête de ces responsable, Pierre Moscovici, ancien directeur de campagne de François Hollande et cheville ouvrière qui a assuré la transition présidentielle. Mais d’après les mêmes sources, ce qui a le plus inquiété Mohamed Abdelaziz, ce sont les phrases avenantes prononcées par Moscovici à l’issue de ses entretiens avec le chef de la diplomatie marocaine. Les « relations entre la France et le Maroc sont d’une telle profondeur, d’une telle intensité, d’une telle densité (que) au-delà des changements politiques qui se sont produits de part et d’autre et qui sont majeurs, nous voulons rapprocher davantage encore nos deux sociétés ».
Une déclaration qui a jeté le froid sur tout l’état-major de Tindouf qui, avec le soutien d’Alger, dispute au Maroc la souveraineté sur la région du Sahara occidental. La direction du Polisario a vu son inquiétude augmenter d’un cran en apprenant le séjour du souverain marocain à Paris avec, en prime, de probables entretiens avec le président français, selon les mêmes sources.
La première alerte a retenti à Tindouf le 9 mai déjà. Ce jour-là, Saâd Eddine El Othmani le ministre marocain des affaires étrangères, s’était rendu à Paris où il a rencontré les principaux collaborateurs du président nouvellement élu, François Hollande.
En tête de ces responsable, Pierre Moscovici, ancien directeur de campagne de François Hollande et cheville ouvrière qui a assuré la transition présidentielle. Mais d’après les mêmes sources, ce qui a le plus inquiété Mohamed Abdelaziz, ce sont les phrases avenantes prononcées par Moscovici à l’issue de ses entretiens avec le chef de la diplomatie marocaine. Les « relations entre la France et le Maroc sont d’une telle profondeur, d’une telle intensité, d’une telle densité (que) au-delà des changements politiques qui se sont produits de part et d’autre et qui sont majeurs, nous voulons rapprocher davantage encore nos deux sociétés ».
Une déclaration qui a jeté le froid sur tout l’état-major de Tindouf qui, avec le soutien d’Alger, dispute au Maroc la souveraineté sur la région du Sahara occidental. La direction du Polisario a vu son inquiétude augmenter d’un cran en apprenant le séjour du souverain marocain à Paris avec, en prime, de probables entretiens avec le président français, selon les mêmes sources.
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