Lundi, la cour d'Oum El Bouaghi, au sud-est d'Alger, en Algérie, a condamné un homme de 27 ans à deux ans de prison ferme et à une amende de 100.000 dinars (1.000€), pour « atteinte à un précepte de l'islam ». Ce jeune homme n'avait pas respecté le jeûne du ramadan.
En août dernier, sur dénonciation, la police de Aïn El Beïda, à 25 km au sud-ouest d'Oum El Bouaghi, avait effectué une descente dans un lieu abandonné, au centre ville, à la recherche d'un groupe de non-jeûneurs, précise le quotidien algérien, El-Watam.
Ce jour-là, les policiers n'avaient pu arrêter que cet homme de 27 ans, les autres ayant réussi à prendre la fuite.
Il avait alors été placé sous mandat de dépôटी
En août dernier, sur dénonciation, la police de Aïn El Beïda, à 25 km au sud-ouest d'Oum El Bouaghi, avait effectué une descente dans un lieu abandonné, au centre ville, à la recherche d'un groupe de non-jeûneurs, précise le quotidien algérien, El-Watam.
Ce jour-là, les policiers n'avaient pu arrêter que cet homme de 27 ans, les autres ayant réussi à prendre la fuite.
Il avait alors été placé sous mandat de dépôटी
Pour le président de Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH), « ce genre de poursuite n'a aucun fondement juridique ».
Un procès lié, selon lui, lié à un excès de zèle et de religiosité de la part de l'institution judiciaire.
Le président de la LADDH rappelant que la liberté de culte est garantie par la Constitution algérienne.
La LADDH considère ainsi que cette condamnation « est une attente à la liberté de culte »।
Un procès lié, selon lui, lié à un excès de zèle et de religiosité de la part de l'institution judiciaire.
Le président de la LADDH rappelant que la liberté de culte est garantie par la Constitution algérienne.
La LADDH considère ainsi que cette condamnation « est une attente à la liberté de culte »।
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